60 ans à Wall Street avec Tom Strauss
Le balado est disponible en anglais seulement.
Invitee: Tom Strauss, Vice-président principal, TD Cowen
Animateurs: Jenn Ocampo King, Managing Director, TD Securities et Jeff Solomon, président, TD Cowen et vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Pour célébrer cette étape importante, notre animatrice, Jenn Ocampo King, se joint à Jeff Solomon, président, TD Cowen et vice-président principal, Valeurs Mobilières TD, pour coanimer cet épisode inspirant mettant en vedette Tom Strauss, où il nous parle de ses 60 ans de carrière à Wall Street, de l’évolution du secteur et de l’importance des partenariats.
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Ce balado a été enregistré le 21 septembre 2023.
[MUSIQUE DE GÉNÉRIQUE]
JENN OCAMPO-KING : Je m’appelle Jenn Ocampo-King, et j’ai aujourd’hui l’immense plaisir d’être en compagnie de Jeff Solomon, président de TD Cowen, qui animera ce balado spécial avec moi. Durant cet épisode, nous serons également avec Tom Strauss, vice-président principal de TD Cowen, pour discuter des 60 ans de son incroyable carrière à Wall Street, de l’évolution du secteur et de sa philosophie sur l’importance des partenariats. Tom, est-ce que tu pourrais nous raconter l’histoire de ta carrière et comment tu es arrivé là où tu es aujourd’hui?
Tom Strauss : J’ai eu de la chance, j’ai travaillé dur et j’ai été au bon endroit au bon moment. J’ai fait mes débuts chez Salomon Brothers. Je pense que j’étais le premier stagiaire. Je n’ai dû faire d’entretiens qu’avec une ou deux personnes. Je me suis retrouvé dans la salle du courrier et, après avoir gravi les échelons, j’ai fini par travailler au service des obligations d’État : mon travail consistait à indiquer les cotes en affichant des nombres aimantés sur le tableau… la technologie était encore un concept inconnu.
Comme je me débrouillais bien avec les émissions, on s’est dit qu’afficher des nombres sur un tableau n’était pas la seule chose dont j’étais capable. J’ai ensuite évolué du côté des ventes. Et un beau jour, en 1979, je me suis regardé dans le miroir et je me suis rendu compte que j’étais à l’origine de la moitié du bilan de l’entreprise.
JEFF SOLOMON : Est-ce que tu pourrais nous parler de l’évolution du secteur depuis tes débuts dans les années 1960? On parle de sept décennies marquées par énormément de changements. Est-ce que tu pourrais revenir sur certains des changements que tu as contribué à concrétiser? Par exemple, concernant le marché hypothécaire, qui s’est complètement transformé? Salomon Brothers a joué un rôle crucial sur le marché des titres du Trésor américain, quel est ton point de vue sur ce changement? Tu pourrais nous parler de choses qui ont changé ou révolutionné le secteur et auxquelles tu as pu assister aux premières loges, que ce soit au début ou au milieu de ta carrière.
Tom Strauss : Je pense qu’on pourrait classer les changements en trois catégories. La taille : tout est infiniment plus grand aujourd’hui. La technologie : l’information est transmise beaucoup plus rapidement. Enfin, comme Jeff l’a évoqué, l’innovation financière, Salomon Brothers ayant été ici à l’avant-garde en ce qui concerne les hypothèques, les activités liées aux titres adossés à des créances hypothécaires. Mais pour pouvoir se concrétiser, l’innovation financière doit correspondre à un besoin. Beaucoup d’idées émergentes meurent rapidement parce qu’elles ne sont pas pertinentes. Elles ne répondent à aucun besoin des marchés des capitaux.
Le rendement élevé a été un autre changement. Nous nous sommes battus contre les activités liées aux obligations à rendement élevé. Il nous a fallu du temps avant d’accepter que le rendement élevé allait devenir une partie intégrante des marchés des capitaux.
Mais tu sais, Jeff, je pense que les choses qui n’ont pas changé sont aussi importantes que celles qui ont changé. C’est une activité sociale. Les gens font des affaires avec des personnes qu’ils apprécient, qu’ils respectent et, surtout, qu’ils savent compétentes. Le caractère, l’intégrité et la capacité de jugement étaient des qualités très importantes pour Bill Salomon quand j’ai rejoint Salomon Brothers en 1963. Il utilisait régulièrement beaucoup de ces mots. C’est pour ça que je crois que c’est important de reconnaître que beaucoup de choses n’ont pas changé.
JENN OCAMPO-KING : Et je pense qu’on va passer à une autre question qui fera une excellente transition vers un autre sujet. Les partenariats t’ont tenu particulièrement à cœur. Est-ce que tu pourrais nous parler un peu de ceux que tu as noués pendant ton incroyable carrière?
Tom Strauss : Pour moi, les services bancaires d’investissement sont un sport d’équipe. Pour réussir, il faut réunir les meilleures ressources qui soient pour pouvoir relever tous les défis. Mais pour ça, il faut se considérer comme une équipe unie à la poursuite d’un même objectif. Soit on atteint cet objectif ensemble, soit on reste coincé ensemble.
Donc j’ai un état d’esprit vraiment collectif et absolument pas individualiste. Je suis mal à l’aise quand j’entends quelqu’un dire qu’il a réussi à faire ceci ou cela parce que les réussites sont le fruit d’un effort collectif. Toute réussite est partagée. Il faut profiter de ces occasions pour raconter comment on a réussi en tant qu’équipe, et non en tant qu’individu.
JEFF SOLOMON : Et c’est une qualité rare. J’ai passé la grande majorité de mes 35 ans de carrière en partenariat avec Tom. Et comme je l’ai souvent dit, Jenn, ma carrière a été marquée par des mentors exceptionnels. Et Tom est le meilleur.
Est-ce que tu peux détailler ce que tu fais pour que les gens te fassent confiance et comprennent qu’entrer en partenariat avec toi leur ouvrira des perspectives? Je sais comment ça marche, mais j’aimerais que tu reviennes sur certaines des choses que tu fais pour montrer aux auditeurs comment ils peuvent concrétiser un partenariat.
Tom Strauss : Eh bien, Jeff, tu as utilisé un mot très important pour moi : la confiance. Comme tu le sais, tu m’as demandé il y a cinq ans de rejoindre le secteur des services bancaires d’investissement. Je me suis dit que tu étais fou. Je n’avais jamais été banquier d’investissement auparavant. Mais je t’ai posé quelques questions. Tu y as répondu, j’ai discuté avec toi et Larry et, malgré mes 76 ans, j’ai décidé de me lancer. Je me suis assez vite rendu compte que pour réussir, j’allais devoir gagner la confiance de divers groupes avec lesquels je travaillais.
Et c’est arrivé inhabituellement vite. Normalement, la confiance se construit sur le long terme. Les relations avec les autres connaissent des hauts et des bas. Mais je crois que la confiance est la pierre angulaire des partenariats. J’ai été ravi de créer des liens de confiance et de respect mutuels avec mes partenaires et mes collègues. Et pour ça, il faut une communication honnête, ouverte et d’excellente qualité.
JEFF SOLOMON : C’est incroyable que tu aies décidé de rediriger comme ça ton énergie à 76 ans. Pour ceux qui ne le savent pas, la gestion de placements alternatifs était le cœur de notre activité ces 20 dernières années chez Ramius et c’est toujours ce que tu fais chez Cowen Investment Management.
Tout ce que je peux dire, c’est que j’espère que j’aurai la même capacité d’adaptation que toi à 76 ans. Mais au fond, c’est toujours la même compétence : trouver comment te rendre utile. C’est typique de toi, Tom, quand tu entres dans une pièce, la première chose que tu dis, c’est littéralement : « Comment est-ce que je peux aider? » Peu importe ce que tu fais au sein de l’organisation ou ce que tu en penses. Rien ne donne plus envie de suivre quelqu’un que ces mots.
Je ne veux pas parler pour toi, mais en ce qui me concerne, tu m’as été d’une aide précieuse au cours de ces 25 ou 27 ans de partenariat. Et je pense que tout le monde sera d’accord pour dire ça.
JENN OCAMPO-KING : Tout à fait. Rien qu’en écoutant ton histoire, je vois bien que tu as vécu des moments incroyables pendant ta carrière. Quels en ont été les jalons pour toi?
Tom Strauss : Je vais les citer dans l’ordre chronologique.
JENN OCAMPO-KING : D’accord.
Tom Strauss : En 1972, je suis devenu partenaire. En 1986, on m’a demandé de devenir président de Salomon Brothers. En 1991, j’étais au point le plus bas de ma carrière, mais je reviendrai là-dessus tout à l’heure. En 1995, j’ai rejoint Jeff et Peter au sein de ce qui était à l’époque Ramius Capital Group, le prédécesseur de Cowen. En 2009, Ramius a fusionné avec Cowen, et il faut saluer Jeff à ce sujet, car il a été l’architecte de cette opération.
Enfin, impossible d’oublier la vente de Cowen à la TD en 2023. Par la suite, tous mes amis qui ont évolué dans les services bancaires commerciaux m’ont posé la même question et m’ont dit la même chose : « Eh bien, Tom, tu vas découvrir ce que c’est de travailler pour une banque. » Et jusqu’à présent, ça a été une expérience formidable pour moi.
Mais là où j’ai appris le plus de choses, ça a été en 1991, lorsque Salomon a traversé une crise de vente aux enchères de bons du Trésor. On avait violé des règles. On a découvert avec consternation ce qui s’était produit. Et on n’a pas réagi assez vite. Cette expérience m’a fait progresser de différentes façons.
Ce qui a été le plus enrichissant, ça a été l’invitation d’un ami à la tête d’une société de Wall Street de taille moyenne à participer à son cours en éthique commerciale à l’Université de New York pour parler de la crise qu’avait connue Salomon en 1991. J’ai accepté et le lendemain du cours, je me suis réveillé en me posant une question toute simple : mais qu’est-ce qui m’a pris de consentir à ça? Et c’était 10 ans après la crise. J’aurais dû réfléchir sérieusement bien avant à la leçon à tirer de cette expérience. Mais j’ai aussi compris que quand quelque chose de vraiment mauvais arrive, tout bon chef de la direction et tout bon chef de groupe a besoin d’une ou deux personnes capables d’entrer dans son bureau, de fermer la porte et de dire : « Ce n’est pas ce que nous sommes. Quelque chose ne va pas, là. »
Et faire ça quand les choses tournent mal, demande beaucoup de courage. J’ai fait passer des entretiens à des douzaines et des douzaines de chefs de la direction. Tous m’ont dit qu’ils avaient cette personne. Mais même quand j’entends ça, je sais que ce n’est probablement pas le cas. J’ai essayé de tout faire pour former cette personne quand j’exploitais une entreprise et je me suis rendu compte à quel point c’était difficile au cours d’une expérience accessoire.
JENN OCAMPO-KING : Comment est-ce qu’on se relève de ça, comment est-ce qu’on arrive à repartir et à développer cette résilience?
Tom Strauss : Eh bien, dans la vie, on a le choix entre deux possibilités. Quand les choses tournent mal, soit on n’arrive plus à mettre un pied devant l’autre, soit on décide de se donner les moyens pour passer à autre chose. J’avais 49 ans. Je pensais que ce n’était que le début. Les premières années n’ont pas été faciles. Je me suis battu avec la SEC pendant un an et demi. Personne n’a envie de ça. Mais j’étais décidé à trouver autre chose. Et aujourd’hui, j’ai 81 ans et je suis plutôt heureux.
JEFF SOLOMON : Je ne connaissais pas Tom lorsque Salomon Brothers a traversé la crise des bons du Trésor. Mais on a pu faire connaissance peu de temps après. J’avais alors lu tout ce qu’il y avait à lire sur le scandale des bons du Trésor. Je suppose que j’avais déjà formé mon opinion en fonction de ce que j’avais lu. Mais lorsque j’ai rencontré Tom, j’ai constaté qu’il y avait un monde entre ce qu’on avait écrit sur Salomon Brothers et l’être humain qu’était Tom.
On a tous traversé des moments creux où on a l’impression que les choses vont moins bien dans notre carrière. Quand ça a été mon cas en 2008, Tom m’a conseillé et guidé pour s’assurer que je continuais à mettre un pied devant l’autre pour une raison très simple et sur laquelle j’aimerais beaucoup avoir ton opinion, Tom. Parfois, on a du mal à voir la valeur de notre future capacité d’action lorsqu’on est au cœur de la tempête. Ce n’est vraiment pas évident d’apprécier ça à ce moment-là.
Je sais que notre activité à Ramius en 1995 n’aurait jamais vu le jour. Ma carrière n’aurait jamais évolué comme elle l’a fait si le scandale des bons du Trésor ne s’était pas produit.
JENN OCAMPO-KING : Vous ne vous seriez…
JEFF SOLOMON : On se serait sans doute rencontré parce qu’on avait pas mal d’amis en commun. Mais on n’aurait jamais eu ce type de relation. Tout ce qui a été créé de positif, y compris la fusion de Cowen et de la TD, ne serait jamais advenu si Tom n’avait pas fait cette expérience fondamentale, qui correspond au creux de sa carrière. Et s’il y a une chose à retenir de tout ça – ça peut être sujet à débat – c’est que tout le monde connaît des moments creux. Les carrières sont faites de rebondissements. Ça fait partie du métier.
JENN OCAMPO-KING : Et de la vie.
JEFF SOLOMON : Et de la vie. Le plus important, c’est la direction qu’on prend et les choses positives qui peuvent être créées le long du chemin. Tu es d’accord?
Tom Strauss : Absolument. On apprend de ses expériences, et nos expériences les plus enrichissantes sont nos échecs. Quelle erreur est-ce que j’ai commise? Qu’est-ce que j’aurais pu faire de différent, comment est-ce que j’aurais pu faire mieux? Je pense que quelqu’un d’optimiste fait des essais et progresse grâce à ces expériences. Et cet évènement faisait clairement partie de ces expériences enrichissantes.
On me demande souvent de conseiller des jeunes. Je leur recommande deux ou trois choses. Je leur dis de regarder autour d’eux, et ils me répondent souvent qu’ils sont trop occupés, qu’ils n’ont pas le temps. Je leur rétorque que c’est faux, qu’ils peuvent bien trouver une minute ou deux chaque jour. Ils peuvent profiter d’une myriade de personnes talentueuses, au sein de Cowen et même de tout le Groupe Banque TD, maintenant. S’ils regardent autour d’eux, ils verront des personnes brillantes.
Ils aimeront certaines choses qu’elles font, d’autres moins. En définitive, ils seront fidèles à ce qu’ils sont. Mais je pense qu’on sous-estime énormément la chance d’évoluer dans une entreprise pleine de personnes talentueuses. Il faut prendre conscience de soi. Ça vaut le coup de réfléchir à qui on est et d’essayer d’imaginer comment les autres nous perçoivent.
Jeff et moi, on a travaillé avec et pour beaucoup de gens, certains qui avaient une conscience aiguë d’eux-mêmes, d’autres moins. Je crois que, quelle que soit l’entreprise, les meilleurs dirigeants ont un haut niveau de conscience d’eux-mêmes parce qu’ils ont une aura de légitimité. Ils ont une aura qui correspond à ce qu’ils sont vraiment.
Je conseille aussi aux jeunes de trouver un mentor. Je ne peux pas expliquer comment faire. Il faut trouver quelqu’un de plus expérimenté, qu’on respecte et qui est prêt à investir du temps dans notre avenir et à développer une relation avec nous. Certaines entreprises proposent des programmes de mentorat poussés. On en fait beaucoup, souvent de manière assez informelle. Mais je pense qu’avoir un mentor est très profitable.
Enfin, je leur conseille de lire. Je suis dyslexique. Je suis atteint d’un trouble déficitaire de l’attention. Lire est une corvée pour moi. Mais certains livres que j’ai lus, que Jeff a parfois également recommandés, ont été d’une aide précieuse pour moi, car ils m’ont offert un point de vue externe.
JENN OCAMPO-KING : C’est génial. Tom, merci infiniment pour tous ces super conseils et pour nous avoir raconté ton histoire inspirante aujourd’hui. Je pense qu’on pourrait conclure en évoquant ce qui t’enthousiasme dans ton parcours au sein de la TD?
Tom Strauss : Oh, mon Dieu. C’est une excellente question, Jenn.
JEFF SOLOMON : Tu pourrais peut-être aussi parler un peu du conseil des relations-client de la haute direction. Je pense que ça serait utile.
Tom Strauss : Bien sûr. J’ai parlé avec Larry et Jeff et je leur ai dit que j’avais besoin d’un cadre pour pouvoir me rendre utile. Sans ça, j’aurais marché à l’aveuglette. Ils ont donc créé le conseil des relations-client de la haute direction. Je préfère dire le « SRC », pour Senior Relationship Council. Mais on comprend. Ils nous ont demandé à Drew MacIntyre et à moi d’en devenir les coprésidents. J’ai été flatté, mais Drew est un partenaire fantastique.
Et je crois que ça m’a donné une occasion personnelle d’aider à trouver des solutions à des problèmes auxquels je pense que nous pouvons répondre. On ne peut pas y arriver seul. Mais on peut faire des recommandations à Jeff, à Tim, à Larry et à Riaz parce qu’on a une sacrée quantité d’expérience dans cette pièce. On a tous 30 ou 40 ans d’expérience dans le secteur, voire plus. Ce sont donc de vieux loups de mer. Et je trouve vraiment génial de pouvoir s’appuyer sur cette expérience, de se coordonner et de faire des recommandations réfléchies.
JENN OCAMPO-KING : C’est emballant. Eh bien, Tom et Jeff, merci infiniment d’avoir participé à cet épisode. C’est super enthousiasmant de vous avoir avec nous chez Valeurs Mobilières TD. Et félicitations pour tes 60 ans de carrière, Tom.
Tom Strauss : Merci.
[MUSIQUE DE GÉNÉRIQUE]
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Thomas W. Strauss
Vice-président principal, TD Cowen
Thomas W. Strauss
Vice-président principal, TD Cowen
Thomas W. Strauss
Vice-président principal, TD Cowen
Jennifer Ocampo-King
Jennifer Ocampo-King
Jennifer Ocampo-King
Jeffrey Solomon
Président, TD Cowen et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Jeffrey Solomon
Président, TD Cowen et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Jeffrey Solomon
Président, TD Cowen et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Jeff est président de TD Cowen, une division de Valeurs Mobilières TD et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD. Il a été président du conseil et chef de la direction de Cowen de 2018 jusqu’à l’acquisition de la société par le Groupe Banque TD en mars 2023.
Auparavant, Jeff était président de Cowen après avoir occupé les postes de chef de l’exploitation et de chef, Services bancaires d’investissement. Lorsqu’il s’est joint à Cowen Investment Management (anciennement connue sous le nom de Ramius) au moment de sa fondation en 1994, Jeff était cogestionnaire de son portefeuille de placements à stratégies multiples. Plus tôt dans sa carrière, il a occupé des postes à Republic New York Securities Corp. (qui fait maintenant partie de la HSBC) et à Shearson Lehman Brothers.