Invités : Ramita Tandon, cheffe des essais cliniques, Walgreens
Animation : Charles Rhyee, analyste, Technologies de soins de santé, TD Cowen
Walgreens a lancé ses activités d’essais cliniques en 2022 afin de rendre les essais cliniques plus accessibles, pratiques et équitables pour les près de 80 % des Américains qui vivent près d’un magasin Walgreens. Depuis, la société a connu une solide croissance dans le secteur et travaille maintenant avec plus de 25 sociétés biopharmaceutiques, établissements universitaires, organismes à but non lucratif et entités gouvernementales.
Les organismes de recherche clinique et les fabricants sont très intéressés à travailler avec un partenaire comme Walgreens qui peut s’occuper de la commodité pour les patients, de l’efficacité du recrutement et de la diversité des participants aux essais. Walgreens est également en mesure de faire croître ces activités selon une approche exigeant peu de capitaux en tirant parti de son réseau actuel de pharmacies de détail. Ramita Tandon, cheffe des essais cliniques de Walgreen, se joint à nous pour discuter de ce sujet.
Ce balado a été enregistré le 10 septembre 2024.
PRÉSENTATEUR : Bienvenue dans Insights de TD Cowen. Ce balado réunit des penseurs de premier plan qui offrent leur point de vue sur ce qui façonne le monde qui nous entoure. Soyez des nôtres pour cette conversation avec les esprits les plus influents de nos secteurs mondiaux.
CHARLES RHYEE : Bonjour. Je m’appelle Charles Rhyee, je suis analyste, Technologie et Distribution, Soins de santé à TD Cowen. Bienvenue dans ce numéro spécial du balado La santé au futur de TD Cowen. On enregistre ce balado lors de la neuvième conférence annuelle La santé au futur de TD Cowen, le 10 septembre. Je suis accompagné de Ramita Tandon, cheffe des essais cliniques de Walgreens, avec qui on animera une discussion informelle plus tard cet après-midi. Ramita, merci d’être des nôtres.
RAMITA TANDON : Merci de m’accueillir aujourd’hui, Charles.
CHARLES RHYEE : Pour commencer, parlez-nous de la décision de Walgreens de se lancer dans le secteur des essais cliniques, et pourquoi vous pensez que c’est logique de tirer parti maintenant de l’empreinte d’un détaillant en produits pharmaceutiques pour se lancer dans les essais cliniques.
RAMITA TANDON : Je suis dans ce secteur depuis très longtemps, plus de 25 ans. Certains des problèmes liés aux essais cliniques sont dus au manque d’accès pour les patients et au manque de représentation dans la recherche clinique.
Si on réfléchit aux actifs de Walgreens et à notre écosystème, en particulier notre accès direct aux populations de patients, notre empreinte nationale, la confiance envers la marque et notre envergure à l’échelle du pays, on devient un partenaire naturel pour le secteur pharmaceutique qui va tirer parti de cet écosystème pour aider à combler certaines des lacunes auxquelles il fait face dans son portefeuille de recherche et développement, en particulier pour essayer de trouver des patients dans des communautés sous-représentées dans le domaine de la recherche clinique, ou simplement dans des secteurs socialement vulnérables qu’il n’a jamais considérés par le passé.
CHARLES RHYEE : Oui. Alors, que fait Walgreens? Quelles sont les principales offres de Walgreens envers la communauté biopharmaceutique?
RAMITA TANDON : Excellente question. On s’est lancés dans le secteur des essais cliniques en juin 2022 dans le but de redéfinir l’expérience patient, de nous attaquer aux problèmes liés à l’accessibilité pour les patients et d’améliorer la représentation. Quand on s’est réunis pour discuter avec un certain nombre de nos partenaires pharmaceutiques, l’idée était : comment résoudre certains de leurs irritants?
On a donc conçu un modèle d’affaires axé sur trois domaines de service, le premier étant une offre de recrutement de patients axée sur les observations dans le cadre de laquelle on tire parti de notre accès direct aux populations de patients et on aide les sociétés pharmaceutiques à trouver ces patients et à les inclure dans des essais. Ce qui est unique chez Walgreens, c’est qu’on peut aller au contact de ces patients. Une fois qu’on a trouvé les patients, on peut communiquer avec eux pour susciter leur intérêt, puis les intégrer au processus de développement de médicaments.
Deuxièmement, il y a la conduite des essais. Comment peut-on rapprocher les essais des patients des collectivités? Pour cela, on a créé un ensemble flexible d’options et de modalités, la première étant qu’on a des pharmacies avec des salles de soins de santé privées de 500 pieds carrés à 5 000 pieds carrés, plusieurs salles d’examen et on profite de l’occasion pour que les patients se présentent, d’abord et avant tout, pour se renseigner sur un essai clinique.
Croyez-le ou non, Charles, un certain nombre de personnes ne savent même pas ce qu’est un essai clinique. Mais une fois qu’ils sont informés et qu’ils ont manifesté de l’intérêt, on peut aller de l’avant et consentir à ce que ces patients participent. Pendant qu’ils donnent leur consentement, on propose des services sur place pour les patients de faible gravité, qu’il s’agisse de dépistage, de diagnostics, de prélèvements de sang ou de tout autre aspect, pour nous assurer que l’expérience d’un patient est positive et accessible.
Le deuxième format est vraiment l’hybride des essais cliniques. Il s’agit vraiment de numériser le flux de travail pour nous assurer que ce soit plus pratique pendant qu’ils viennent en pharmacie. Et enfin, l’occasion de les faire à domicile. Aujourd’hui, on a une offre de services d’essais cliniques chez les patients. C’est notre deuxième format, notre ligne de service.
Et le troisième, c’est vraiment les preuves sur le terrain et l’informatique. C’est vraiment en utilisant les renseignements sur nos clients et nos patients qu’on aide nos partenaires biopharmaceutiques à commencer à répondre à certaines de leurs questions, alors qu’ils planifient la production de données probantes pour le lancement de leurs produits, avant et après.
CHARLES RHYEE : C’est super. Vous avez mentionné un peu plus tôt la possibilité de tirer parti de ce réseau pour aller dans des collectivités particulièrement mal servies. Vous en parlerez peut-être parce que, évidemment, la Food and Drug Administration, la FDA, a fait un grand effort pour s’assurer que la recherche clinique inclut des populations diverses et représentatives pour les médicaments qui seront offerts à l’avenir. En quoi Walgreens est-elle unique à cet égard? Et qu’avez-vous vu jusqu’à maintenant dans votre capacité à intégrer ces populations au processus d’essais cliniques?
RAMITA TANDON : Oui, c’est une bonne question. D’un point de vue statistique, moins de 5 % des Canadiens participent à des recherches cliniques. Les 3/4 de ceux qui participent s’identifient comme blancs. On sait que ce n’est plus vraiment une bonne chose. C’est essentiel. On commence évidemment à ressentir des pressions de nos législateurs, de l’agence et d’autres parties de l’écosystème des soins de santé, comme les payeurs et les patients.
Les sociétés pharmaceutiques prennent de plus en plus l’initiative de concevoir et de mener ces essais. Ils veulent s’assurer d’enrichir la taille de leur échantillon afin que, lorsqu’ils mettent leurs produits ou leurs traitements sur le marché, cela profite à toutes les populations de patients. C’est là que Walgreens est dans une position très unique pour diriger cet effort visant à soutenir les sociétés pharmaceutiques qui cherchent à diversifier leurs populations d’essais.
Le simple fait qu’on a aujourd’hui une population de patients diversifiée dans nos établissements à l’échelle nationale, fait que notre capacité à explorer notre écosystème, à repérer ces patients en fonction de la race, du sexe, de l’origine ethnique et des déterminants sociaux de la santé, devient une base solide pour les sociétés pharmaceutiques, pour les aider à trouver les patients difficiles à atteindre et qui sont sous-représentés.
On a d’excellentes études de cas aujourd’hui. On vient de terminer un programme de vaccination de phase 3 dans le cadre duquel on a pu inscrire des patients beaucoup plus tôt. Dans les 16 semaines suivant le début de l’étude, on a recommandé tous les patients requis pour cet essai particulier. Dans le cadre de cet essai, on a réussi à générer une population de patients diversifiée, à doubler le secteur et à respecter les normes de la FDA.
Aujourd’hui, les noirs et les Hispaniques représentent entre 6 % et 8 %. On a eu 15 % de participation de patients noirs et afro-américains. Avec la population hispanique, encore une fois, c’est généralement moins de 10 %. On a réussi à attirer 18 % de patients hispaniques dans le cadre de cette étude. Donc, on observe à l’approche des deux prochaines années que les capacités de notre écosystème permettent aux sociétés pharmaceutiques de vraiment tirer parti de ces actifs et d’aller trouver des patients dans ces diverses communautés.
CHARLES RHYEE : Oui. Ce n’est pas seulement l’intérêt des sociétés pharmaceutiques, n’est-ce pas? Je crois que vous avez récemment annoncé un partenariat stratégique avec la Biomedical Advanced Research and Development Authority, la BARDA, pour stimuler l’innovation dans les essais cliniques décentralisés. Parlez-nous un peu de ça. Je crois que ça comprend aussi un projet sur la COVID-19. Expliquez d’abord le partenariat. Selon vous, qu’est-ce que ce partenariat représente pour Walgreens? Et pourquoi pensez-vous que la BARDA a choisi Walgreens en fin de compte?
RAMITA TANDON : Oui. Il s’agit d’un partenariat passionnant pour Walgreens. Il est important de réunir des partenariats publics et privés pour vraiment commencer à résoudre certains des problèmes fondamentaux qu’on voit dans le secteur des essais cliniques. Les objectifs de la BARDA cadrent avec ceux de Walgreens, qui vise à améliorer la représentation et à accroître l’accès à la recherche clinique dans les collectivités qu’on sert.
En regroupant ces deux entités, on peut vraiment améliorer la façon de faire des essais dans des collectivités qui n’ont jamais eu accès à ces services. On est ravis de ce partenariat. C’est un investissement. C’est une reconnaissance de notre travail à Walgreens, de l’efficacité avec laquelle on tire parti de notre empreinte géographique pour vraiment régler les problèmes d’accessibilité et rendre les essais plus pratiques et plus important encore, faire en sorte que les divers groupes de patients qui ont toujours été laissés pour compte dans le cadre de la recherche clinique aient l’occasion de participer au processus de développement de médicaments.
On est donc très enthousiastes à l’égard de l’architecture de ce partenariat et de ce qu’il signifie, alors qu’on commence à mettre en œuvre non seulement leur essai de vaccin, mais aussi l’infrastructure pour commencer à intégrer plus de ces essais dans l’écosystème.
CHARLES RHYEE : Je pense que lorsqu’on parle d’essais cliniques décentralisés, le concept était plus au départ quelque chose comme : « Hé, on va utiliser des soins virtuels, on va utiliser une certaine technologie. » Mais de façon plus générale, la décentralisation signifie que vous n’avez pas besoin d’être au centre médical universitaire ou au site de l’enquêteur en soi. Selon vous, à quoi ressembleront les essais cliniques décentralisés à l’avenir?
Évidemment, si vous regardez du côté de l’IQVIA, de ICON et de toutes ces grandes sociétés, elles parlent toutes d’avoir des capacités de type essais cliniques décentralisés. Je sais que PPD en parle beaucoup, n’est-ce pas? En ce sens, comment Walgreens s’intègre-t-elle dans le contexte plus large de la gestion des risques avec les capacités que vous apportez? En ce moment, vous collaborez directement avec les sociétés pharmaceutiques. Peut-être qu’on peut parler du plus large marché global de la sous-traitance, comment Walgreens s’intègre là-dedans?
RAMITA TANDON : C’est une très bonne question. Je dirais, Charles, que si on pense à l’avenir et à l’élan qu’on observe pour la décentralisation de la recherche clinique, on voit les choses très différemment. On réfléchit à comment faire des essais dans les collectivités. C’est vraiment de ça qu’il s’agit, n’est-ce pas? Comment faire en sorte que plus de patients de partout au pays, qui n’ont jamais participé, aient l’occasion de participer et de faire participer les collectivités qui ont été laissées pour compte dans le cadre du processus de développement de médicaments?
Quand on pense à la décentralisation, il s’agit de trouver d’autres lieux de soins, comme les pharmacies et d’examiner différentes modalités pour mobiliser les patients, qu’il s’agisse de solutions numériques ou d’autres solutions technologiques. Mais en fin de compte, on croit qu’il faut trouver la bonne autoroute pour que les essais se rapprochent de l’endroit où se trouvent les patients, pour être plus pratiques et accessibles.
On continue donc dans cette voie. Cela nous place dans une position unique, car on a l’envergure nécessaire. On a des établissements très pratiques pour nos populations de patients, qui peuvent se rendre dans un centre d’essais cliniques de Walgreens et participer à des recherches cliniques. On a certainement établi des partenariats avec un certain nombre d’entreprises technologiques qui ont des plateformes qui nous permettent de numériser certains aspects de notre flux de travail pour qu’il soit pratique pour certains de nos groupes de patients qui utilisent la technologie de communiquer avec leurs fournisseurs ou d’autres services de soins de santé.
On pense que Walgreens continuera de mettre l’accent sur l’avenir de la décentralisation de la recherche clinique, surtout que des organismes et des entités comme la BARDA veulent continuer à bâtir des infrastructures pour faciliter la participation des patients. On est donc emballés par ce mouvement et ravis de cette lancée. On va continuer à investir en tirant parti de l’ensemble de notre écosystème et de nos actifs pour appuyer ça.
CHARLES RHYEE : Si on regarde Walgreens au sens le plus large, à quel point selon vous cette occasion est-elle importante? Si on analyse les prévisions du marché des sociétés de recherche contractuelle… Évidemment ce n’est pas tout ce que vous ferez, mais une sorte de plafond dont une partie est accessible. Comment établissez-vous la taille du marché qui vous intéresse?
RAMITA TANDON : Oui. Le marché cible est en croissance et il est sain. En général, les types de services qu’on propose aux sociétés pharmaceutiques continuent de croître et je crois que le dernier rapport de l’IQVIA publié en 2023 montrait une croissance de ces services d’environ 18 %. Compte tenu des investissements en recherche et développement d’environ 150 millions de dollars, dont 50 % sont impartis, on estime qu’il s’agit d’une excellente occasion pour Walgreens de continuer à croître dans ce secteur et de poursuivre sur la voie d’une croissance et d’un élan solides.
CHARLES RHYEE : Très bien. On en a peut-être parlé brièvement tout à l’heure. En fin de compte, à quoi ressemblera le secteur des essais cliniques dans 5 ou 10 ans?
RAMITA TANDON : Oui. On vient d’aborder la notion de décentralisation, de recherche clinique. Je crois vraiment que cet élan va se poursuivre. Il s’agit simplement de construire la bonne autoroute pour permettre aux patients d’accéder à ces nouvelles options de traitement. Une des choses les plus importantes pour nous, c’est qu’au fur et à mesure de nos conversations avec les patients, on se rend compte qu’il faut changer le récit pour que les gens voient ça comme une option de soins.
Par exemple si vous êtes atteint d’une maladie chronique et que vous suivez une thérapie standard qui ne fonctionne pas, mais qu’il existe un traitement qui pourrait vous sauver la vie, on veut s’assurer que vous compreniez que cela fera partie de l’option de soins et du parcours de soins.
L’autre élément, je pense, c’est qu’il faut continuer à mettre l’accent sur l’amélioration de la représentation. On est très heureux de travailler avec nos partenaires des sociétés pharmaceutiques qui cherchent des façons d’enrichir leurs populations de patients. Ils prennent contact avec Walgreens pour qu’on les aide dans leurs efforts. Je pense que ça va continuer d’aller de l’avant.
Et pour nous, à Walgreens, les rôles de la pharmacie et du pharmacien sont absolument essentiels. On veille avec une grande attention à ce que la pharmacie soit vue comme le cadre de pratique des soins. On a déployé des programmes de formation sur les essais cliniques à l’échelle nationale pour que les pharmaciens puissent devenir des pharmaciens de recherche clinique et faire progresser leurs propres projets. On pense que le rôle de la pharmacie sera tout à fait essentiel pour résoudre certains problèmes d’accès et de représentation qu’on observe encore dans le secteur.
CHARLES RHYEE : Excellent, c’est bon à entendre. Et je vous remercie de vos réflexions. Ramita, merci d’avoir été des nôtres.
RAMITA TANDON : Merci de m’avoir invitée, Charles.
PRÉSENTATEUR : Merci de nous avoir écoutés. On se retrouve pour le prochain épisode d’Insights de TD Cowen.
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Directeur général, Soins de santé – Analyste de recherche en technologies de soins de santé, TD Cowen
Charles Rhyee
Directeur général, Soins de santé – Analyste de recherche en technologies de soins de santé, TD Cowen
Charles Rhyee
Directeur général, Soins de santé – Analyste de recherche en technologies de soins de santé, TD Cowen
Charles Rhyee est directeur général et analyste de recherche principal en distribution et technologies de soins de santé. M. Rhyee a été reconnu dans les sondages menés par le Wall Street Journal et le Financial Times. En 2023, il s’est classé au troisième rang du sondage All-America dans le segment de la distribution et des technologies de soins de santé du magazine Institutional Investor et a été nommé Best Up & Coming Analyst en 2008 et en 2009.
Avant de se joindre à TD Cowen en février 2011, il a occupé le poste de directeur général de la distribution et des technologies de soins de santé pour Oppenheimer & Co. M. Rhyee a commencé sa carrière en recherche sur les actions à Salomon Smith Barney en 1999.
Il est titulaire d’un baccalauréat en économie de l’Université Columbia.