Acquisition de Cowen : nouvelles occasions à l’horizon
Invitees : Riaz Ahmed, Président et chef de la direction, Valeurs Mobilières TD et Jeffrey Solomon, Président, TD Cowen et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Animateur : Amy Van Arnhem, directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Pour célébrer le premier anniversaire de l’acquisition de Cowen, Riaz Ahmed et Jeff Solomon reviennent dans Point de vue avec Amy Van Arnhem, pour parler de l’intégration et du potentiel de croissance. Culture de collaboration ou amélioration des capacités à l’échelle mondiale, Riaz et Jeff nous font part de leurs points de vue sur la transformation et les occasions qu’elle présente.
Écoutez les autres épisodes pour connaître les points de vue de divers leaders d’opinion sur les thèmes clés qui influencent les marchés, les différents secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui.
Ce balado a été enregistré le 9 avril, 2024.
PRÉSENTATEUR : Bienvenue au balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Écoutez le point de vue de leaders d’opinion sur des thèmes clés qui influencent les marchés, les secteurs et l’économie mondiale en ce moment. On espère que vous apprécierez cet épisode.
AMY VAN ARNHEM : Bienvenue au balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Je suis votre animatrice, Amy Van Arnhem, et aujourd’hui est un épisode très spécial. L’an dernier, la TD annonçait son acquisition de Cowen. Et quelle année excitante ça a été de pouvoir être les témoins des synergies entre ces deux sociétés.
Pour célébrer le premier anniversaire de l’acquisition, j’ai le plaisir de m’entretenir avec notre chef de la direction de Valeurs Mobilières TD, Riaz Ahmed, et Jeff Solomon, président de TD Cowen et vice-président du conseil de Valeurs Mobilières TD, pour discuter des subtilités de cette intégration et de ce qu’elle signifie pour nos clients. Merci à vous deux d’être des nôtres.
RIAZ AHMED : Merci, Amy.
JEFF SOLOMON : C’est un plaisir d’être ici.
AMY VAN ARNHEM : Ça fait donc un an. Jeff, je dois mentionner que vous portez une cravate très impressionnante aujourd’hui. Depuis votre arrivée à la TD, combien de cadeaux TD avez-vous reçus? Et cette cravate est-elle votre préférée?
JEFF SOLOMON : Il ne fait aucun doute que c’est celle que je préfère, parce que Bharat me l’a offerte. Je tiens à dire que je ne suis pas vraiment quelqu’un qui porte des cravates. J’ai fait une diffusion en direct avec lui pour célébrer notre premier anniversaire. Et à la fin de cette diffusion, il m’a offert cette cravate. Ça va. J’ai saisi l’allusion.
AMY VAN ARNHEM : Oui, voilà.
JEFF SOLOMON : Le vert joue un rôle important dans notre culture. J’ai acheté moi-même pas mal de choses vertes, mais les gens se sont donné vraiment beaucoup de mal, tant à la TD que parmi mes amis à l’extérieur, pour m’offrir des choses vertes. J’ai été assez surpris de voir à quel point les gens sont passionnés. Alors, je l’adore. Je porte tout le temps du vert.
AMY VAN ARNHEM : Eh bien, attendez d’avoir été ici depuis plus de 20 ans et le contenu de votre penderie sera beaucoup plus vert.
JEFF SOLOMON : C’est déjà le cas.
AMY VAN ARNHEM : Excellent. Ça fait donc un an qu’on s’est réunis. Quelle est votre plus grande fierté à tous les deux?
RIAZ AHMED : En premier lieu, je suis très fier du leadership de la plateforme combinée et, vraiment, de tous nos collègues. La raison en est que pour l’intégration, au cours des douze derniers mois, bon nombre des décisions ont été prises de façon interne. Et les gens ont vraiment cru en la vision de cette combinaison et l’ont soutenue.
Ils ont facilité, sur les plans humain et culturel, une intégration dont je suis très, très fier, avec une intention positive et un partenariat dont ils ont fait preuve au cours de ces douze derniers mois, qui nous a permis de nous rendre où on en est aujourd’hui, avec l’intégration des dirigeants accomplie, pour l’essentiel. Ça peut parfois être difficile avec les gens.
Le changement peut être difficile et on a de nouvelles personnes des deux côtés de la plateforme combinée. Chaque fois qu’on a rassemblé des gens pour qu’ils apprennent à se connaître et à connaître la puissance de la plateforme combinée, j’ai été très heureux de constater que l’enthousiasme avait dépassé la nervosité suite à l’annonce initiale. Ça a été incroyable de voir comment les gens ont adopté la plateforme combinée.
JEFF SOLOMON : Je suis complètement d’accord. Je pense que ça commence avec nos collègues. Lorsque vous voyez des collègues interagir les uns avec les autres pour les clients ou simplement pour les autres, pour recruter de nouvelles personnes sur la plateforme, c’est vraiment puissant. On avait nos raisons de réaliser cette opération. On peut les examiner et voir comment ça s’est passé.
Mais quand vous voyez la validation externe des gens qui choisissent de s’engager volontairement, qui regardent de l’extérieur et qui se disent : « Wow, je veux bâtir la prochaine étape de ma carrière à Valeurs Mobilières TD, TD Cowen, parce que cette plateforme combinée aux États-Unis et au Canada est si puissante. Et je pense que je serai mieux là-bas que n’importe où ailleurs. » Quand quelqu’un nous rejoint, c’est la déclaration sous-jacente.
« Je pense que je peux être une meilleure version de moi-même ici que n’importe où ailleurs. » Et cette énergie est contagieuse pour tous ceux qui sont déjà là, parce que tout le monde a l’occasion de confirmer de nouveau pourquoi il fait partie de l’entreprise. Nous avons vu beaucoup de ces choses-là se produire. Et ça m’enthousiasme vraiment. Et puis, bien sûr, lorsque vous obtenez la validation externe des clients qui disent que la plateforme combinée répond à leurs besoins… Et on commence à peine à effleurer la surface, honnêtement.
Mais les rétroactions des clients quand vous êtes assis dans la salle, quand ils disent : « On fait ça avec Valeurs Mobilières TD et on fait ça avec TD Cowen », on sait que de manière combinée, on peut faire plus, c’est vraiment à nous de trouver comment le faire au niveau de service attendu. Et les clients sont impatients et prêts à vraiment s’engager à nos côtés.
AMY VAN ARNHEM : Pour revenir là-dessus et approfondir le sujet, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur les capacités étendues qu’on a, maintenant qu’on est réunis?
JEFF SOLOMON : Du point de vue des deux entreprises, c’est-à-dire de la logique sectorielle derrière cette acquisition… Mais je dois rendre à César ce qui appartient à César, c’est le travail accompli par Riaz, Robbie Pryde et un groupe de personnes qui ont approfondi la stratégie et compris que Cowen était l’entreprise qu’il fallait acheter, je n’y suis pour rien. Mais quand j’ai eu l’occasion de lire la présentation sur la stratégie, j’ai trouvé que ça tombait sous le sens.
Le cadre de base de regrouper les deux entreprises, très complémentaires, est toujours valable. En fait, c’est mieux que ce que je pensais, parce que, quand on regroupe deux entreprises généralement, on découvre qu’il faut faire des choses qui n’étaient peut-être pas prévues dans le cadre de travail initial. Et il ne fait aucun doute que le cadre initial tient toujours.
Aux États-Unis, par exemple, si vous regardez nos activités de services bancaires d’investissement, vous comprenez qu’on peut commencer à faire des choses en matière de recherche et de distribution d’actions aux États-Unis, qu’on ne pouvait pas faire avant l’acquisition de Cowen. De l’autre côté, la plateforme de distribution d’actions de Cowen peut désormais offrir du financement à pas mal de clients, ce qu’elle ne pouvait pas proposer auparavant. La possibilité d’offrir des actions et des titres à revenu fixe dans une seule offre de produit combiné, ce sont des occasions énormes qu’on peut désormais saisir, à une échelle à laquelle on n’avait pas accès avant.
AMY VAN ARNHEM : Oui, c’est réjouissant. Vous y avez fait allusion, mais regrouper les deux entreprises a aussi permis à de nombreuses autres équipes d’autres organisations de croître. De mon point de vue, c’est vraiment incroyable de voir ça aussi, ces talents qui s’en viennent et on est vraiment emballés par le parcours qui nous attend tous.
JEFF SOLOMON : Encore une fois, je pense que la manifestation de la stratégie, quand on regarde, par exemple, l’équipe Institutions financières qui nous a rejoints : ils auraient pu aller n’importe où, mais ils ont choisi de venir ici. Et ça en dit long sur notre esprit de partenariat à la TD. La TD avait un secteur Institutions financières.
Il était axé sur le Canada. Encore une fois, dans beaucoup d’entreprises, les gens auraient fait preuve d’esprit de clocher à ce sujet, en faisant appel à une équipe ultra spécialisée et en se demandant comment tout ça allait fonctionner. Ce n’est pas ce qui s’est passé ici. Ce qui s’est passé, c’est que les dirigeants au Canada ont dit qu’il s’agissait d’une excellente occasion pour nous de prendre de l’expansion et qu’on servirait mieux nos clients de base grâce à cette équipe.
C’est une déclaration d’intention très importante. Et c’était au début, au moment où les gens restent généralement plus prudents et protègent leur territoire. Ce n’est pas ce qui s’est passé ici. Si tout le monde reconnaît que les occasions qui s’offrent vont au-delà de ce que l’une ou l’autre des deux entreprises aurait pu faire toute seule, on obtient un pouvoir énorme.
AMY VAN ARNHEM : C’est vraiment enthousiasmant. Riaz, une chose que je voulais vous demander, c’est que nous rassembler signifie qu’on met équitablement l’accent sur les deux côtés de la frontière. Comment va-t-on continuer à profiter de cet élan aux États-Unis tout en gardant notre présence et notre clientèle déjà importantes au Canada?
RIAZ AHMED : Il faut commencer par dire que le Groupe Banque TD et, par conséquent, Valeurs Mobilières TD, et tous les secteurs de la Banque, sont en premier lieu établis au Canada. On est une banque canadienne et c’est notre marché intérieur. On doit être solides à tous les égards, dans tous les secteurs de notre marché intérieur.
Mais tout comme la Banque elle-même, on constate que nos clients ont tendance à rechercher d’abord de la croissance aux États-Unis, puis dans d’autres régions du monde. La capacité des marchés financiers américains à financer l’innovation et la croissance est incontestable. Aucun doute là-dessus.
Le dollar américain est la première monnaie de réserve du monde. On a misé sur cette stratégie en dollars américains au cours des dix dernières années, pour continuer à renforcer la puissance de Valeurs Mobilières TD et sa pertinence pour les clients en Amérique du Nord, mais aussi en Europe et en Asie-Pacifique. Alors, en réalité, cette acquisition et la combinaison des plateformes visaient à déterminer comment on pouvait rester pertinents. Et comment on pourrait chercher de la croissance dans notre secteur.
Je pense que plus on est présents et plus on est solides sur les marchés financiers américains, mieux on peut conseiller et négocier pour nos clients à l’échelle mondiale. Au début des discussions avec Jeff et son équipe, on s’est rendu compte de la logique sectorielle dont Jeff a parlé, qui consiste à réunir une plateforme de recherche de premier plan, ainsi que des capacités d’exécution fabuleuses en actions, ainsi que la capacité de renforcer les services bancaires d’investissement aux États-Unis, parallèlement à notre propre plateforme de services bancaires d’investissement et aux grandes entreprises, et nos forces dans les titres à revenu fixe, les produits de base et les devises allaient être une combinaison imbattable.
En fait, ce qu’on tente de faire ici, c’est de renforcer nos capacités des deux côtés de la frontière pour rester pertinents pour nos clients en Amérique du Nord, ce qui est, dans l’ensemble, la façon dont l’économie canadienne fonctionne de toute façon. Comme on le sait tous, elle est très liée à l’économie américaine. Il a donc vraiment s’agit d’en tirer parti.
JEFF SOLOMON : Est-ce que je peux ajouter quelque chose? Parce que je pense que tous les membres de la haute direction sont sensibles à cette idée que peut-être on ne se focalise pas autant sur le Canada. Et je tiens à être très clair à ce sujet. L’acquisition de Cowen n’a aucunement pour but de réduire l’importance du Canada. Elle vise à étendre ce qu’on fait ici au Canada.
Pour ce qui est de l’ancienne Cowen, on a pris la décision consciente de ne pas se lancer sur le marché canadien, car il s’agit d’un marché intérieur dominé par de grands joueurs, qui ont beaucoup de capital et de savoir-faire. Tout le monde se connaît. On ne savait pas vraiment comment être présents au Canada avec l’offre de produits qu’on avait.
Il ne serait pas raisonnable de penser qu’on sait comment les choses fonctionnent au Canada, au moment où tout le monde apprend encore. La dernière année a été consacrée à découvrir les similitudes et les différences dans la façon dont on peut collectivement repenser notre façon d’aborder les choses aux États-Unis et au Canada pour accroître ces marchés. Mais on devrait être au premier ou au deuxième rang pour n’importe quelle entreprise au Canada.
Alors, ce cadre de travail est très ancré dans la réalité vivante de ce qu’on fait, stratégiquement. Les États-Unis sont un marché important, comme Riaz l’a dit : on ne fait rien qui soit au détriment de nos activités au Canada. En fait, c’est tout le contraire : il s’agit vraiment de nourrir nos relations canadiennes et de nous assurer qu’on est au premier ou au deuxième rang.
AMY VAN ARNHEM : Eh bien, je pense qu’apporter la plateforme TD Cowen nous donne vraiment l’occasion de le faire ici au Canada. D’après mes observations, c’est un élément important de cette acquisition et de cette intégration. Pour développer un peu là-dessus, Riaz, je pense que ce que Jeff dit, c’est que l’intégration n’est pas facile.
C’est emballant, et il y a beaucoup d’occasions à saisir, mais ce n’est pas facile. Et c’est un processus. Et ça prend du temps. Comment voit-on nos clients, dans ce processus? Et quel message leur transmettez-vous sur la façon dont on les soutient tout au long de la période d’intégration?
RIAZ AHMED : Oui. Je pense, Amy, à toutes les interactions que Jeff et moi on a eues avec nos clients, tant du côté institutionnel que du côté des entreprises. Nos clients savent qu’on est en pleine intégration, qu’on est en train de développer nos capacités et qu’on grandit, dans le but de mieux les servir.
Ils nous ont beaucoup soutenus et ils continuent de nous exprimer leurs intentions positives en grand nombre, de vouloir en faire plus à nos côtés. Et on veut en faire plus avec vous. Je suis incroyablement reconnaissant envers tous nos clients d’être avec nous et de continuer à nous soutenir tout au long de ce parcours, car il y a tellement de relations incroyables qui nous permettent d’être en confiance dans ce qu’on fait et de nous assurer qu’on fait tout ce qui doit être fait pour répondre aux besoins de nos clients.
AMY VAN ARNHEM : On a beaucoup parlé de la plateforme nord-américaine. Je pense qu’il serait peut-être important pour nous de simplement parler de la façon dont la plateforme mondiale s’organise et de mieux comprendre comment on envisage notre croissance là-bas et comment ça fonctionne.
RIAZ AHMED : Amy, on a exprimé notre ambition de devenir la meilleure banque d’investissement en Amérique du Nord, avec une portée mondiale. Je crois que la portée mondiale est très pertinente et très importante pour nous, parce qu’au Canada et aux États-Unis, nos clients, encore une fois, les entreprises et les institutions, ont tendance à se tourner vers l’Europe et l’Asie-Pacifique. Dans la même veine, on a un certain nombre de clients en Europe et en Asie-Pacifique qui cherchent à devenir plus pertinents aux États-Unis et au Canada.
On veut offrir cette connectivité et s’assurer non seulement d’améliorer nos capacités ici en Amérique du Nord, mais aussi d’être tout aussi pertinents dans ces marchés pour continuer à servir nos clients. Parce que de nombreux clients nous disent, par exemple, du côté institutionnel, que notre bilan est aussi pertinent pour eux en Europe et en Asie-Pacifique qu’en Amérique du Nord. On doit continuer à développer ces capacités pour offrir un service plus complet à nos clients.
JEFF SOLOMON : J’aimerais aussi ajouter qu’il est très difficile, selon moi, quand vous êtes en Europe ou en Asie, de communiquer jour après jour avec le centre, si vous voulez, ou avec la stratégie qui émane de Toronto. On dispose d’un ensemble élargi de capacités qu’on peut maintenant présenter aux clients à l’échelle mondiale.
Lorsqu’on parle d’une banque nord-américaine, on a une expertise dans le domaine et une expertise sectorielle en Amérique du Nord qu’on peut apporter à d’autres régions du monde. Lorsque vous regardez le Canada et les États-Unis sur une base combinée, il s’agit d’un marché financier dominant. Toutes les autres régions veulent interagir avec ce marché financier.
Elles veulent le faire aux côtés de quelqu’un qui a une connaissance et une compréhension approfondies de ce qui se passe sur ce marché et du contexte des flux mondiaux, des titres à revenu fixe et des actions, n’est-ce pas?
On a désormais une gamme complète de capacités de bout en bout. Et si on prend toute cette gamme de capacités et qu’on l’oriente vers des publics qui se trouvent en Asie et en Europe, on n’est qu’au début de ce parcours, n’est-ce pas?
Les gens connaissent peut-être la TD pour ce qu’elle fait dans ces régions. Les gens connaissent peut-être TD Cowen pour ce qu’elle fait dans ces régions, principalement en Europe, parce qu’on n’a pas fait grand-chose en Asie : pensez aux clients qui profiteront de cette plateforme combinée si on prend notre connaissance du domaine, notre capital intellectuel, notre capital financier et notre capital humain et qu’on les applique à ces régions… Une croissance d’avenir dont on a à peine commencé à effleurer la surface. Je suis donc conscient du fait que si vous êtes en Asie ou en Europe et que vous entendez parler de l’Amérique du Nord, des dix principales banques d’Amérique du Nord, c’est le domaine et le capital intellectuel qu’on a ici et qu’on peut exporter et vous apporter d’une façon qui n’est peut-être pas celle des autres banques.
AMY VAN ARNHEM : C’est très bien dit. Y a-t-il des questions que je n’ai pas posées ou d’autres sujets dont vous vouliez parler?
RIAZ AHMED : Je rappellerais que lorsqu’on s’est réunis, l’ancienne Cowen et l’ancienne Valeurs Mobilières TD, l’une des choses que les dirigeants ont vraiment reconnues, c’est que les cultures des deux sociétés étaient très semblables. En plus de la logique sectorielle qui consiste à combiner les plateformes, la similitude culturelle a été un élément important pour nous rassembler et traverser la phase d’intégration. C’est une entreprise axée sur les gens. Et elle est profondément ancrée dans les principes de partenariat, de confiance et de conseils, tant à l’interne qu’à l’externe avec les clients.
Et je pense que ça a été incroyable de voir les deux plateformes se réunir. C’est grâce à l’expression de ce partenariat qu’on a vraiment été en mesure de faire progresser l’intégration plus rapidement que prévu. Je tiens à profiter de l’occasion pour remercier non seulement nos clients de leur soutien, mais aussi nos collègues qui ont vraiment exprimé cette intention avec énormément d’enthousiasme et de flexibilité. Je suis incroyablement reconnaissant de pouvoir diriger un groupe de personnes aussi merveilleuses.
JEFF SOLOMON : La seule chose que je retiendrais, c’est que vous avez mentionné un mot très important, le mot confiance. La confiance prend du temps. Les cadres et la stratégie qu’on a mis en place sont excellents, on peut voir se présenter juste sous nos yeux les occasions de prendre une part significative dans les endroits où on veut être et être plus pertinents pour les clients en tant que partenaires.
Il faut du temps pour que la confiance s’établisse à l’interne et à l’externe. Vous ne pouvez pas précipiter la confiance, vous savez? C’est quelque chose qui se mérite au fil du temps. Ça fait un an et on observe ces signes de confiance, cette confiance fondamentale qui est mise en place, où nos collègues des deux côtés de l’entreprise, nos nouveaux collègues, comme vous l’avez souligné, se joignent à l’entreprise et commencent à dire qu’ils ont confiance qu’on puisse y arriver. Je peux avoir la confiance que lorsqu’on est en face d’un client, on peut lui donner ce qu’il souhaite.
Les clients me disent : « j’ai confiance que lorsque je mandate la TD ou lorsque j’interagis avec la TD, ils vont faire le travail. » C’est une partie très importante de cette première année. Et la deuxième chose que je dirais, c’est l’empathie. On en parlait et on a souri hier, quand Riaz et Robbie sont venus me voir pour la première fois, on s’est assis dans la salle de conférence Empathy au 599.
Dans cette entreprise, on fait preuve d’une compréhension mutuelle et profonde. C’est vraiment essentiel. Lorsqu’on interagit avec les clients, comment peut-on comprendre leurs besoins? Lorsqu’on interagit, que se passe-t-il dans nos vies respectives qui pourrait nous aider à aider les autres? C’est quelque chose de bien réel, à la TD en général, pas seulement à Valeurs Mobilières TD, dans nos interactions quotidiennes avec nos clients.
AMY VAN ARNHEM : Eh bien, comme vous l’avez dit, beaucoup de travail a été accompli au cours de la première année. J’ai hâte de voir ce que la prochaine année nous réserve et que vous teniez votre promesse de revenir dans un an. On parlera de ce qu’on a tous accompli au cours d’une deuxième année.
RIAZ AHMED : Merci, Amy.
JEFF SOLOMON : Merci, Amy.
AMY VAN ARNHEM : Merci beaucoup.
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Riaz Ahmed
Président et chef de la direction, Valeurs Mobilières TD
Riaz Ahmed
Président et chef de la direction, Valeurs Mobilières TD
Riaz Ahmed
Président et chef de la direction, Valeurs Mobilières TD
Riaz Ahmed a été nommé président et chef de la direction, Valeurs Mobilières TD et chef de groupe, Services bancaires de gros, Groupe Banque TD en septembre 2021.
Auparavant, il a été chef de groupe et chef des finances, Groupe Banque TD de 2016 à 2021. À titre de chef des finances, il était responsable, entre autres, de Stratégie d’entreprise, des Finances, du Groupe de la sélection stratégique, de Gestion de la trésorerie et du bilan et du Développement interne, ainsi que du programme de transformation du Bureau de la Société de la TD. Avant cela, il a dirigé Assurance et Cartes de crédit en Amérique du Nord, deux secteurs d’expansion clés, de 2013 à 2015.
Jeffrey Solomon
Président, TD Cowen et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Jeffrey Solomon
Président, TD Cowen et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Jeffrey Solomon
Président, TD Cowen et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD
Jeff est président de TD Cowen, une division de Valeurs Mobilières TD et Vice-président principal, Valeurs Mobilières TD. Il a été président du conseil et chef de la direction de Cowen de 2018 jusqu’à l’acquisition de la société par le Groupe Banque TD en mars 2023.
Auparavant, Jeff était président de Cowen après avoir occupé les postes de chef de l’exploitation et de chef, Services bancaires d’investissement. Lorsqu’il s’est joint à Cowen Investment Management (anciennement connue sous le nom de Ramius) au moment de sa fondation en 1994, Jeff était cogestionnaire de son portefeuille de placements à stratégies multiples. Plus tôt dans sa carrière, il a occupé des postes à Republic New York Securities Corp. (qui fait maintenant partie de la HSBC) et à Shearson Lehman Brothers.
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy est responsable d’offrir une couverture multiproduits mondiale complète aux hauts dirigeants pour des clients institutionnels canadiens. Dans le cadre de ses fonctions, elle gère les relations avec les intervenants en faisant la promotion d’une approche collaborative et intégrée à l’échelle de l’entreprise. Elle s’est jointe à la TD en 2001, dans le secteur de détail. En 2007, en participant au programme de rotation de Ventes et négociation à Valeurs Mobilières TD, elle a acquis de l’expérience en titrisation, en négociation pour compte propre et en actions institutionnelles. En 2008, elle s’est jointe à l’équipe Ventes d’actions institutionnelles, où elle traitait avec des clients canadiens.