Le carbone : prochain favori mondial?
Invitee: Andrew Hall, Directeur général, Services-conseils en carbone, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD
Animateur: Amy West, TD Directrice générale et chef mondiale, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD
Les marchés volontaires du carbone deviennent rapidement une partie intégrante des stratégies de carboneutralité. Cumulant plus de 15 ans d’expérience dans le domaine, Andrew Hall comprend pourquoi. Écoutez-le s’entretenir avec notre animatrice, Amy West, sur l’évolution des marchés du carbone, les fausses croyances et la participation unique de la TD à un récent projet de conservation qui pourrait transformer le rôle que jouent les banques dans les efforts essentiels de préservation de l’environnement.
Écoutez les autres épisodes pour connaître les points de vue de divers leaders d’opinion sur les thèmes clés qui influencent les marchés, les différents secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui. aujourd’hui.
PRÉSENTATRICE : Bienvenue au balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD, où divers leaders d’opinion s’expriment sur des thèmes clés qui influencent les marchés, les secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui. Nous espérons que vous apprécierez cet épisode.
AMY WEST : Bienvenue au quatorzième épisode de Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Je suis votre animatrice, Amy West, directrice générale et chef mondiale, Solutions ESG à Valeurs Mobilières TD. Dans la dernière année, plus de 60 % des entreprises figurant au palmarès de Fortune 500 se sont engagées à réduire leurs émissions ou à viser la carboneutralité. Il existe plusieurs façons d’atteindre la carboneutralité, mais des progrès technologiques, des changements opérationnels et une expansion des marchés du carbone, et tout particulièrement des marchés volontaires du carbone, seront nécessaires pour que les entreprises atteignent leurs objectifs.
Comme nous comprenons à quel point il est important de participer à la croissance des marchés du carbone, notre équipe Solutions ESG a recruté des spécialistes du secteur pour collaborer avec notre clientèle pendant que nous élaborons une gamme complète de solutions à faibles émissions. Aujourd’hui, je reçois Andrew Hall, qui vient tout juste de se joindre à la TD. À la tête de la Services-conseils en carbone, Valeurs Mobilières TDpratique Services-conseils en carbone de Valeurs Mobilières TD,. il possède plus de 15 ans d’expérience dans les marchés des produits de base environnementaux. Bienvenue, Andrew.
ANDREW HALL : Merci, Amy. Je suis content d’être là.
MY WEST : Andrew, vous venez de vous joindre à Valeurs Mobilières TD., Jdonc j’aimerais que vous parliez un peu de vous à nos auditeurs de vous et de votre parcours. Ensuite, je veux qu’on aborde la nouvelle plateforme Services-conseils en carbone qu’on cherche à créer, puis que vous expliquiez un peu ce qu’on essaie d’offrir à notre clientèle quand on parle de solutions à faibles émissions.
ANDREW HALL : D’accord. Comme vous l’avez mentionné, je travaille dans les marchés du carbone depuis 15 ans, soit environ depuis 2007. Quand j’ai commencé à y travailler, le domaine en était à ses débuts. Les FNB du Système d’échange de quotas d’émission de l’Union européenne venaient d’être lancés et, quand j’étudiais en gestion, on parlait beaucoup des marchés des produits de base environnementaux dans les nouvelles, plus spécifiquement des marchés du carbone. Depuis, ces marchés ont connu une croissance importante, au point où ils valent maintenant près de deux milliards de dollars.
Mon addition à l’équipe à titre de chef de la plateforme Services-conseils en carbone s’inscrit dans une approche à trois volets visant à faire croître les affaires pour notre clientèle. L’une des occasions qui a découlé de la COVID-19, c’est la convergence entre les solutions ESG et les marchés du carbone parce que ces solutions ont en partie incité les entreprises à s’engager en matière de carboneutralité. Ensuite, ce qu’elles veulent, ce sont des façons d’accomplir cela ça à court, moyen et long terme.
Notre plateforme, notre approche à trois volets, est conçue sur cette base. Donc, lEt le premier élément qu’on vise est d’offrir des solutions de négociation ou d’interaction avec les marchés à notre clientèle. DoncAlors, si on a un client qui s’est engagé pour envers la carboneutralité et veut effectuer une opération sur le marché, on peut faciliter cette opération en lui présentant des projets de crédits de compensation de carbone, notamment des projets basés sur des solutions naturelles, l’efficacité énergétique ou la réduction des émissions industrielles. Le deuxième élément de notre stratégie est ce que j’appelle la constitution ou le placement des capitaux : des clients s’intéressent à l’achat de crédits de compensation de carbone, mais pourraient aussi vouloir investir dans des projets de compensation. On les aide alors en leur présentant les projets, puis en structurant ces types de placements.
Comme vous le savez, on vient de faire notre premier placement, au nom de la TD et de Valeurs Mobilières TD, dans un projet basé sur des solutions naturelles au nord de l’Ontario : le projet Terres boréales. On va donc se servir de cette expérience pour aider nos clients à effectuer des opérations similaires. D’un autre côté, on a aussi des clients qui décident de mobiliser des capitaux pour des projets. Donc, iIl s’agit alors de réunir ces deux parties.
L’autre aspect de la question est qu’on a des entreprises qui essaient d’accéder aux marchés publics pour mobiliser des capitaux, particulièrement dans le but de développer des projets. Le troisième et dernier aspect de notre stratégie d’affaires est lié aux des conseils exhaustifs, particulièrement pour les secteurs à forte intensité énergétique. DoncAlors, quand il y a des fusions et acquisitions et qu’un client acquiert un actif ou s’en défait, il s’agit de comprendre les conséquences en matière de carbone ou, selon le cas, de cerner les occasions possibles, puis d’en tenir compte dans l’évaluation de cette opération spécifique.
AMY WEST : C’est fantastique! Je dirais que, quand je pense aux banques, je ne suis pas surprise d’entendre parler de souscription d’obligations ou de conseils pour un projet d’énergie renouvelable. Par contre, quand la TD a annoncé qu’elle investissait dans le projet Terres boréales, j’ai trouvé cela ça plutôt inhabituel, et il s’agit du plus grand projet de conversationconservation au Canada de tous les temps au Canada. Et donc, voir une banque s’engager dans celaça, je crois, c’était quelque peu une surprise sur le marché. Pouvez-vous parler à nos auditeurs du projet et expliquer un peu ce qui a suscité l’engagement de la TD?
ANDREW HALL : C’est une opération intéressante, en partie parce que, depuis que je suis actif sur ces marchés, traditionnellement, je constate qu’il n’y a pas nécessairement eu beaucoup d’investissement dans ces types de projets de la part d’acteurs plutôt traditionnels des marchés financiers. Mais c’ela est en train de changer très, très rapidement, si on prend notre placement de 10 millions dans le projet Terres boréales comme exemple. Le projet se fait en partenariat avec Conservation de la nature Canada, un des joueurs les plus établis dans le domaine des projets de crédits de compensation de carbone.
Il a un projet dans le sud de la Colombie-Britannique nommé Darkwoods depuis plus de dix ans maintenant qui, depuis sa création, a produit régulièrement, puis permis de rentabiliser des crédits de compensation de grande qualité. Le projet Terres boréales en est une extension. Grâce à des développements sur le marché, il est possible pour la TD, par exemple, d’investir dans ce projet, et celui-ci a pu obtenir des fonds pour le plus grand effort de conservation privé de l’histoire canadienne. Je pense qu’il s’agit d’une grande réalisation, de réunir les gens qui travaillent à la conservation des terres publiques et les institutions financières, et on s’attend à plus d’annonces du genre avec le temps.
Le projet couvre 1 500 km2, donc il est de taille importante. C’est presque quatre fois la taille de Vancouver, donc c’est géographiquement imposant. En plus de la réduction et de la suppression des émissions, le projet présente d’autres avantages : conservation de bassins versants, protection de la biodiversité, de la flore et de la faune, et promotion des utilisations traditionnelles des terres. Pour nous, il s’agit d’un projet très enthousiasmant, et on est fiers d’y prendre part. Dans les 30 prochaines années, on s’attend à recevoir environ 100 000 tonnes par an grâce à ce projet. On pourra ensuite les utiliser ou les vendre à notre clientèle.
AMY WEST : Les marchés du carbone forment certainement un secteur qui suscite beaucoup de discussions dans le monde des solutions ESG en ce moment. Et peut-être suis-je un peu trop ambitieuse, mais je peux facilement voir comment le carbone pourrait devenir le prochain grand produit de base à l’échelle mondiale. Je ne veux pas mettre l’accent sur votre âge, mais, comme vous avez déjà mentionné que vous êtes présent sur les marchés du carbone depuis un bon moment – on pourrait même dire, avant qu’ils soient cool –, pourquoi selon vous ces marchés suscitent-ils autant d’intérêt maintenant, Andrew? Pourquoi pensez-vous qu’ils pourraient faire partie de la solution et permettre l’atteinte des objectifs de carboneutralité?
ANDREW HALL : Les marchés du carbone, je crois, jouent un rôle très important en tant que mécanisme de création de liens. Amy, comme vous l’avez dit, quand les entreprises s’engagent pour la carboneutralité, surtout si elles ont des actifs en capital fixe à long terme, il peut souvent être très, très difficile pour elles de passer seules à une trajectoire à faibles émissions de carbone. Les crédits de compensation jouent ici un rôle clé : pendant que ces entreprises explorent des solutions à plus long ou moyen terme pour réduire les émissions de leurs affaires existantes, les crédits de compensation de carbone leur permettent d’atteindre des réductions des émissions à plus faible coût. Par conséquent, du point de vue des changements climatiques mondiaux, on se retrouve dans la même situation. Les émissions sont réduites, mais elles le sont à moindre coût.
Ce à quoi on s’attend au fil du temps, et on le constate déjà clairement sur les marchés de conformité, c’est qu’à mesure que le coût du carbone augmente, que les technologies s’améliorent et que l’efficacité croît, le nombre de réductions internes ou plutôt la rentabilité associée à ces réductions internes est de plus en plus intéressante. C’est vraiment là l’objectif clé du marché du carbone : créer le prix du carbone et l’expérience de tarification du carbone, puis, avec le temps, faire en sorte que les entreprises calquent leurs propres réductions internes là-dessus. Ce à quoi le prix ressemblera dépendra de l’entreprise et du secteur. Pour certains, il sera à 20 $ ou 30 $. Pour d’autres, il se situera dans les centaines de dollars.
Une des choses excitantes qui ressort de l’évolution des marchés du carbone et dont on ne parle pas nécessairement beaucoup, c’est la quantité de capitaux privés qui sont investis dans des technologies, projets et solutions. Avec le temps, selon moi, ils vont réellement accélérer les innovations qui permettront de réduire les émissions, mais aussi leur efficacité sur le plan économique. Ils vont donc abaisser la courbe des coûts technologiques et favoriser son évolution, ce qui va rendre la réalisation de solutions beaucoup plus rapide qu’on l’aurait cru autrement en l’absence des marchés du carbone. Un autre avantage des marchés du carbone est ce qu’on peut appeler les coavantages.
Si on prend notre propre projet comme exemple, il s’agit de la préservation des paysages. C’est un exemple où protéger les bassins versants, la flore et la faune, et permettre une utilisation traditionnelle des terres aussi, est souvent très difficile à quantifier sur le plan économique, mais je crois qu’il s’agit d’interventions qui ont intrinsèquement beaucoup de valeur, et cette valeur commence à être reconnue par la possibilité de rentabiliser les crédits de compensation issus de la préservation des forêts dans ce cas-ci, mais par la réduction des émissions dans d’autres secteurs aussi. Je crois donc qu’il s’agit d’une époque excitante pour les marchés du carbone. Comme vous l’avez dit, ils croissent très rapidement et prennent vraiment leur envol. De plus en plus d’entreprises cherchent à effectuer des opérations sur ces marchés, de les utiliser comme une première étape vers l’atteinte de leur cible de carboneutralité.
AMY WEST : J’aime votre explication. Entre ce qui est faisable sur le plan technologique et ce qui est viable sur le plan commercial, il faut trouver un juste milieu. Je suis très heureuse de voir où cela ça ira.
Maintenant, même si tout cela ça est merveilleux, je dois jouer à l’avocat du diable un peu. Plusieurs clients et auditeurs se posent peut-être des questions au sujet de problèmes récents dont ils ont entendu parler dans les médias au sujet des crédits de compensation. On peut peut-être parler d’effet John Oliver ici.
Pouvez-vous nous aider à faire la part des choses? À quels défis ces marchés font-ils face, surtout en matière de crédibilité, et à quoi les entreprises devraient-elles réfléchir en les examinant? Au final, elles peuvent se demander : comment accéder au marché avec crédibilité?
ANDREW HALL : Il y a quelques éléments à mettre de l’avant ici. Tout d’abord, bien que les marchés du carbone soient nouveaux pour bien des gens, ils ne sont pas vraiment nouveaux. DoncAlors, plusieurs personnes rattrapent leur apprentissage, puis entendent des manchettes qui dénigrent les marchés du carbone et leur validité.
Souvent, on entend qu’ils sont utilisés comme une porte de sortie facile, ce qui rappelle quelque chose que j’ai soulevé tantôt : ces marchés existent depuis longtemps et ont fait l’objet d’un examen du public. De nombreuses occasions ont aussi permis aux projets d’être validés et vérifiés par des tiers indépendants, ce qui fait partie du processus.
L’autre chose qu’on commence à constater, c’est que les normes qui régissent la création des crédits de carbone sont de plus en plus établies. IDonc il y a, par exemple, Verra, la plus grande norme sur les crédits de compensation volontaire en ce moment. C’est elle qu’on a utilisée pour le projet Terres boréales. Elle a émis plus d’un milliard de crédits depuis sa création, soit depuis un peu plus de 20 ans maintenant. Donc,Et il y a eu de nombreuses occasions pour ces projets, ainsi que pour les protocoles sur lesquels ils reposent, d’être testés et mis à l’essai.
Ce n’est pas pour dire que les choses sont parfaites. Il existe encore, comme pour tout actif et toute opération, de quoi susciter la méfiance des acheteurs. Par contre, je crois que beaucoup des défis ou critiques qui existent par rapport à ces marchés aujourd’hui reflètent surtout le fait qu’ils sont nouveaux pour les gens, qui essaient d’en comprendre le fonctionnement.
Cela jette un peu d’ombre sur ces marchés, je dirais, à court terme. Les gens peuvent être réticents, mais ces marchés ont toujours été marqués par des hauts et des bas. À ce point-ci, il s’agira simplement de faire en sorte que les gens accélèrent leur courbe d’apprentissage et deviennent plus à l’aise avec les types de projets qui existent. Ces changements permettront au marché d’évoluer et d’encourager la carboneutralité et la transition vers une économie à faibles émissions de carbone.
AMY WEST : Andrew, je ne vous remercierai jamais assez de nous avoir faire fait part de vos connaissances aujourd’hui et d’avoir bien expliqué ce qui, selon moi, est un sujet assez complexe. Vous nous aidez à faire donner du sens de à ce qui se passe. Avant de terminer, j’aimerais vous poser une dernière question : pour un client qui écouterait Point de vue aujourd’hui, quelle serait la première étape à suivre pour obtenir de nouveaux renseignements et en savoir plus? Qu’aimeriez-vous leur lui dire?
ANDREW HALL : Pour les entreprises, je pense que la première étape est de réfléchir à l’interne à ce qu’elles souhaitent accomplir dans le cadre de la transition vers une économie à faibles émissions de carbone et de déterminer à quel point elles veulent passer à l’offensive. On met toujours de l’avant une chose auprès des clients : bien que toute réglementation environnementale ait traditionnellement reposé sur une approche de commandement et de contrôle, ce qu’on observe à présent du côté réglementaire et sur le marché volontaire, c’est que les clients ont beaucoup de flexibilité et d’options de gestion de leurs émissions de carbone. Ils peuvent décider de la manière de les réduire au fil du temps, à un point tel qu’il s’agit à présent d’un avantage concurrentiel.
On le constate clairement sur les marchés de conformité et je crois qu’on l’observera de plus en plus sur les marchés volontaires au fil du temps, quand les entreprises découvriront des façons encore plus novatrices de négocier leurs crédits de compensation et de commencer à réduire leur propre empreinte environnementale. La réduction de son empreinte n’est pas contraire à la réussite financière. Les entreprises qui réduisent leur dépendance aux combustibles fossiles ou rendent plus efficace leur consommation d’électricité diminuent d’autant plus leur exposition au complexe énergétique.
Je crois donc, en somme, que les entreprises doivent vraiment regarder les choses dans leur ensemble et décider à quel point elles veulent être ambitieuses en la matière. Elles doivent décider ce qui est faisable à court, moyen ou long terme et posséder une stratégie claire même si certaines des technologies sont encore en émergence et qu’elles ne les connaissent peut-être pas. Mais il faut tout de même avoir un certain plan et une stratégie claire quant à ce qu’elles veulent faire pour commencer à réduire les émissions associées à leurs affaires. Le marché saura ainsi qu’elles y ont réfléchi et qu’elles comprennent qu’il s’agit d’un processus à long terme. Il faut vraiment qu’elles comprennent ce qu’elles font et pourquoi elles le font.
AMY WEST : Andrew, merci encore une fois d’avoir participé au balado Point de vue aujourd’hui. Pour en savoir plus sur les marchés du carbone ou ce que la TD fait en général en matière de solutions ESG, veuillez communiquer avec l’équipe Solutions ESG. Merci d’avoir été des nôtres aujourd’hui.
ANDREW HALL : Merci beaucoup, Amy.
[MUSIQUE]
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Andrew Hall
Directeur général, Services-conseils en carbone, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD
Andrew Hall
Directeur général, Services-conseils en carbone, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD
Andrew Hall
Directeur général, Services-conseils en carbone, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD
Andrew s’est joint à l’équipe Solutions ESG comme directeur général en juillet 2022. Basé à Calgary, il possède plus de 15 ans d’expérience en produits de base liés aux enjeux environnementaux, ayant contribué au développement d’entreprises florissantes des secteurs des services financiers et l’énergie. Avant la TD, il travaillait au Groupe TMX, où, à titre de directeur de la finance durable, il était chargé des volets des enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) et des marchés du carbone. Auparavant, il a mis sur pied et dirigé les activités de négociation des produits de base liés aux enjeux environnementaux et aux marchés du carbone en Amérique du Nord à Capital Power.
Amy West
Directrice générale et chef mondiale, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD
Amy West
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Amy West
Directrice générale et chef mondiale, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD
Amy est directrice générale et chef mondiale, Solutions ESG, Valeurs Mobilières TD. Elle travaille auprès d’entreprises clientes et de clients institutionnels au sein des Services bancaires internationaux et marchés afin d’offrir des conseils et des solutions en matière de facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance. Avant de se joindre à la TD en 2013, Amy a travaillé pour d’autres institutions financières mondiales dans les services bancaires d’investissement et les marchés des capitaux d’emprunt.