Au-delà de la couverture : Aperçu du secteur du courtage de premier ordre
Le balado est disponible en anglais seulement.
Invitees: David Santina, directeur général, Division responsable des actions et chef, Services de courtage de premier ordre aux États-Unis, Valeurs mobilières TD et Steve Banquier, directeur général et chef, Courtage de premier ordre, Valeurs mobilières TD
Animateur: Amy Van Arnhem, directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Quelle a été l’évolution du domaine de la gestion d’actifs non traditionnels en Amérique du Nord? Steve Banquier et David Santina font part de leurs points de vue à l’animatrice, Amy Van Arnhem, en offrant un aperçu du monde du courtage de premier ordre et de l’importance d’offrir des services hors pair aux clients. Étant donné que les taux d’intérêt sont de plus en plus volatils, comment le marché a-t-il changé et qu’est-ce qui est nécessaire pour se démarquer?
Écoutez les autres épisodes pour connaître les points de vue de divers leaders d’opinion sur les thèmes clés qui influencent les marchés, les différents secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui. aujourd’hui.
Ce balado a été enregistré le 8 Juin, 2023.
NARRATEUR : Bienvenue au balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Écoutez le point de vue de divers leaders d’opinion sur des thèmes clés qui influencent les marchés, les différents secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui. Nous espérons que vous apprécierez cet épisode.
AMY VAN ARNHEM : Bonjour et bienvenue au vingtième épisode du balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Je m’appelle Amy Van Arnhem et j’animerai l’épisode d’aujourd’hui. Je suis accompagnée de deux de mes collègues, Steve Banquier, directeur général et chef de Courtage de premier ordre au Canada, et David Santina, directeur général et chef de Prime Services aux États-Unis. Ensemble, nous discuterons des services de courtage de premier ordre de Valeurs Mobilières TD et de certaines des grandes tendances dominant le secteur de la gestion des actifs alternatifs. Steve, Dave, merci beaucoup de vous joindre à moi.
STEVE BANQUIER : Merci pour l’invitation,
DAVID SANTINA : Oui, merci beaucoup.
AMY VAN ARNHEM : Excellent. J’aimerais commencer par vous poser une question. Pourquoi parle-t-on de Courtage de premier ordre au Canada et de Prime Services aux États-Unis?
STEVE BANQUIER : Je pense que Prime Services a évolué au cours des dernières années, en partant de services de courtage de premier ordre synthétique et au comptant, de swaps sur actions et de produits Delta One. Je pense que c’est de là que vient le nom. Mais je ne sais pas, David a peut-être une opinion à ce sujet.
DAVID SANTINA : Oui. La raison n’est pas vraiment claire et nette. C’est juste une question d’appellation. Et c’est ainsi que nous faisons la différence entre les services au Canada et aux États-Unis. Mais il n’y a pas vraiment de raisons factuelles.
AMY VAN ARNHEM : OK. On me pose souvent la question.
DAVID SANTINA : Vraiment?
AMY VAN ARNHEM : C’est pourquoi je voulais clarifier les choses.
DAVID SANTINA : OK.
AMY VAN ARNHEM : Passons maintenant aux véritables questions. Tout d’abord, ce serait formidable si vous pouviez prendre le temps de décrire les services offerts par Courtage de premier ordre ou Prime Services, en nous présentant vos activités de façon générale et ce qu’elles apportent aux clients. Pourquoi la clientèle de gestion d’actifs alternatifs est-elle si importante pour vous?
STEVE BANQUIER : Je vais commencer. En fait, nous offrons un éventail de services aux gestionnaires de placements alternatifs. Je les décris parfois comme des comptes sur marge, similaires à ceux que vous pourriez avoir avec un courtier de détail, mais sous stéroïdes. Nous tirons des revenus des prêts sur marge et des prêts de titres. Mais nous offrons toute une gamme de services de garde, de compensation, de déclaration, de mise en relation au capital et un certain nombre d’autres services qui complètent nos sources de revenus.
DAVID SANTINA : De façon plus générale, je dirais qu’il s’agit de solutions de financement pour ceux qui investissent dans les placements alternatifs et pour les fonds alternatifs et les gestionnaires de fonds privés. Pour en revenir à ce que disait Steve, nous offrons une gamme complète de services à valeur ajoutée. Lorsque je parle de solutions de financement, je ne parle pas seulement des positions acheteur, mais aussi des positions vendeur.
Pour compléter les propos de Steve, ce qui nous distingue, c’est notre modèle de service, de mise en relation au capital et de prêts de titres. Je pense que c’est très important pour nos clients.
STEVE BANQUIER : Oui. Je dirais qu’à la base, dans une certaine mesure, les activités de courtage de premier ordre ont été quelque peu normalisées, la question est « voici les taux, maintenant, comment vous démarquez-vous? » Ce sont des choses comme les services et les éléments non tangibles qui font une différence.
Je sais qu’au Canada nous essayons de surpasser nos concurrents par notre service. Parce qu’une fois que vous intégrez des clients, tant que vous faites du bon travail, que vous les traitez équitablement et que vos prix sont raisonnables, ils vous restent fidèles. Vous profitez alors d’un revenu régulier pendant de nombreuses années.
AMY VAN ARNHEM : Pourquoi le secteur de la gestion d’actifs alternatifs, en particulier, est-il spécial pour votre entreprise? Est-ce parce que ces clients participent à certaines de ces opérations de vente à découvert et que certains profitent d’activités de garde?
STEVE BANQUIER : Oui. Quand on parle de placements alternatifs – ce qui me vient à l’esprit, et je suis sûr que c’est la même chose pour David – c’est le financement, soit par le biais de liquidités, de prêts sur marge ou de vente à découvert. Au Canada, cela a créé un marché des placements alternatifs de très petite taille, qui est en pleine croissance. Mais traditionnellement, au cours des 20 dernières années, le marché consistait en fonds privés placés par voie de notices d’offre, uniquement accessibles aux investisseurs qualifiés.
Ce qui a changé, selon moi, au cours des cinq dernières années environ, c’est que l’autorité en valeurs mobilières, l’organisme de réglementation, soit la CVMO, ou Québec, peu importe, a modifié les règles relatives aux fonds communs de placement – ou ce qu’ils appellent placements alternatifs liquides – pour leur permettre d’utiliser l’effet de levier et de vendre à découvert. L’avantage, c’est que du point de vue de la distribution, vous n’êtes plus limités aux seuls investisseurs qualifiés. Vous pouvez vendre à quiconque détient un compte sur marge dans une grande société de gestion de patrimoine, à condition que les fonds soient approuvés par cette société. Ce changement a été déterminant, en particulier au Canada.
DAVID SANTINA : Aux États-Unis et à l’étranger, le marché est en pleine croissance. Au cours des dernières années, des sommes d’argent ont été retirées du secteur dans son ensemble, mais maintenant, le marché est énorme. Il existe des milliers de gestionnaires de fonds privés potentiels. Tout dépend de votre définition.
AMY VAN ARNHEM : Oui.
DAVID SANTINA : Mais la catégorie peut être très importante. Et les occasions sont phénoménales. Le marché est vraiment énorme et il continue de croître. Nous observons également que les fonds importants de ce segment continuent de grossir. C’est la tendance depuis quelque temps : les très grands ensembles attirent une grande partie de l’argent investi dans ce secteur.
AMY VAN ARNHEM : Quel type de fonds attire cet argent? S’agit-il d’une priorité précise du marché final, comme le capital-investissement ou les titres de créance de sociétés privées?
STEVE BANQUIER : Je pense que c’est un peu cyclique. En fait, au cours des dernières années, on a observé un transfert des fonds de couverture traditionnels au profit du capital-investissement. Et je pense que ça commence à changer, au profit des titres de créance de sociétés privées. Mais pour ce qui est des activités de base des fonds de couverture, qui sont notre secteur à David et à moi, l’activité est solide. Il y a des occasions et des rentrées de capitaux ici au Canada, pour sûr, et je pense aussi aux États-Unis.
DAVID SANTINA : Tout à fait.
STEVE BANQUIER : Mais c’est cyclique.
DAVID SANTINA : N’oubliez pas que nous nous concentrons sur des stratégies diversifiées. Il ne s’agit pas juste d’actions et de positions acheteur et vendeur. Nous privilégions les titres à revenu fixe et d’autres stratégies diversifiées de négociation de fonds de couverture.
STEVE BANQUIER : Oui. Il est important de le souligner : vous voulez que votre portefeuille d’activités soit diversifié. Vous voulez des entreprises en démarrage, des entreprises établies... Les activités de placement en titres à revenu fixe sont florissantes au Canada, parce que pendant le cycle, certaines catégories d’actif vont être délaissées et elles ne seront pas rentables. Nous devons trouver de nouvelles catégories d’actif et de nouveaux clients pour niveler les revenus à court terme.
AMY VAN ARNHEM : Tout cela est donc constamment en évolution et en mouvement en fonction de ce que nous observons sur le marché, notamment des secteurs où les clients trouvent des occasions de générer de l’alpha. Nous définissions auparavant un fonds de couverture comme une véritable stratégie de couverture. Est-ce que cela a changé? Ou continuez-vous à les considérer comme le cœur du secteur des actifs alternatifs, qui cherchent vraiment à fournir des couvertures, où l’on se concentre sur l’alpha et qu’on essaie de limiter l’exposition au marché, ou le bêta?
STEVE BANQUIER : Ma réponse est oui, tout à fait. Parce que, selon moi, du point de vue du risque, notre travail ne consiste pas à prêter de l’argent parce que les gens veulent un effet de levier.
AMY VAN ARNHEM : OK.
STEVE BANQUIER : Juste pour le plaisir d’avoir un effet de levier, pour stimuler les rendements, parce que cela peut-être dangereux. En général, nous voulons travailler avec des sociétés qui acceptent des fonds institutionnels d’investisseurs institutionnels qui ont des mandats et des attentes.
Si vous travaillez en collaboration avec nos gestionnaires de positions acheteur et vendeur, il y aura beaucoup d’affinités et de retour. Ils ont des opinions sur les actions qu’ils peuvent juger surévaluées ou sous-évaluées. Il y a donc une couverture implicite. Nos activités liées aux titres à revenu fixe sont bien couvertes. Et je pense que c’est pour ça que les clients paient. Parce que, traditionnellement, les gestionnaires de placements alternatifs utilisaient un modèle 2-20. Ce n’est plus le cas. Néanmoins, les investisseurs paient une prime pour ces services de couverture et pour la production d’alpha.
DAVID SANTINA : Oui, et le segment des placements alternatifs donne aux gestionnaires de portefeuille la possibilité d’être protégés contre une partie de la volatilité du marché et de couvrir leurs expositions. Mais cela dépend vraiment de la stratégie, des opérations de négociation, des objectifs, des horizons de placement du portefeuille et des stratégies de négociation.
AMY VAN ARNHEM : Quelles ont été les répercussions des taux d’intérêt actuels sur vos activités? Non seulement au niveau de votre clientèle, mais en particulier au niveau de vos activités? Steve, je vais commencer par vous au Canada, puis on passera aux États-Unis.
STEVE BANQUIER : Oui, je pense avoir observé deux choses. Certains de nos clients ont effectué des opérations de portage opportunistes, dans lesquelles le coût d’emprunt était si faible qu’ils ont pu acheter des actifs de grande qualité pouvant avoir un portage positif. Ce fut le cas avec un grand nombre de nos clients de titres à revenu fixe. Maintenant, compte tenu du niveau actuel des taux, cette possibilité semble s’être évaporée.
En revanche, nos titres à revenu fixe ont probablement progressé d’environ 65 % au cours de la dernière année. Compte tenu de ces hausses de taux d’intérêt, certains segments du marché sont considérés comme sous-évalués. Nous avons donc enregistré beaucoup d’entrées de capitaux dans ce secteur, ce qui nous a permis de croître et d’être plus rentables dans ce segment.
DAVID SANTINA : Oui, je suis d’accord. La seule chose à signaler, c’est que certains de nos fonds macroéconomiques mondiaux ont été en difficulté en raison des fluctuations de certains titres du Trésor et de la volatilité au cours du dernier semestre environ. Les choses se sont rétablies à cet égard. C’est ce que je voulais ajouter aux commentaires de Steve.
AMY VAN ARNHEM : La hausse des taux exerce-t-elle des pressions sur la façon dont vous dirigez ou approchez vos activités?
STEVE BANQUIER : Tout à fait, notre approche est différente. C’est une priorité. Mais, pour ce qui est de nos activités, le coût de financement correspond à ce que nous recevons sur nos effets de trésorerie, et nous ajoutons un écart de taux pour nos clients. Il y a donc certaines nuances. Mais, dans l’ensemble, les taux ont augmenté d’un quart de point hier au Canada, et cela ne change pas grand-chose pour nous. Nos clients paient tout simplement plus pour nous emprunter de l’argent. Mais pour ce qui est de ce qu’ils nous paient, cela ne change pas.
DAVID SANTINA : Oui, j’ajouterais simplement qu’il s’agit de surveiller nos liquidités et le coût des liquidités. C’est très important pour les services de courtage de premier ordre, car il s’agit d’activités qui dépendent énormément des bilans. Nous devons donc bien gérer tous nos coûts, nos coûts de financement et nos coûts des liquidités du point de vue de la réglementation et du financement concret.
AMY VAN ARNHEM : Vous venez de mentionner la réglementation, et la question se pose. Quels sont les éléments à prendre en considération? Comme les participants aux marchés financiers sont toujours assujettis à un niveau élevé de réglementation, y a-t-il des nouveautés ou des changements réglementaires au centre des préoccupations de votre secteur?
STEVE BANQUIER : Au Canada, la crise financière de 2008 a entraîné l’adoption de nombreuses règles par l’intermédiaire du régime de Bâle III. Il s’agit de composer avec ça et de nous assurer que nous sommes conformes, et que nous établissons les bons prix. Mis à part cela, je pense que la CVMO et les organismes de réglementation au Canada sont relativement ouverts aux placements alternatifs. Je pense que certaines réformes relatives aux approbations qu’ils accordent à nos clients doivent être revues. Mais, dans l’ensemble, c’est plutôt bien. Je sais que la SEC a des points de vue différents sur les fonds de couverture ces jours-ci. Peut-être que David pourrait nous en parler.
DAVID SANTINA : Oui, cela dépend vraiment. De nombreuses manchettes parlent de l’augmentation des capitaux attribués aux banques dans l’ensemble, en raison des problèmes des banques régionales survenus au cours des derniers mois aux États-Unis. Nous devons attendre de voir ce qui va se passer et ce qui sera concrètement appliqué dans la gestion pratique des activités. C’est un facteur primordial de la gestion de nos activités et de notre stratégie pour l’avenir.
AMY VAN ARNHEM : Oui. J’imagine. J’aimerais approfondir une dernière question avec vous. Comme vous l’avez mentionné, il est absolument essentiel d’offrir un service de premier ordre pour fidéliser vos clients. Comme nous le savons, Valeurs Mobilières TD a récemment acquis Cowen. Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur la façon dont cela accroît l’offre que vous proposez et aussi sur les occasions que cela offre, en particulier aux États-Unis, concernant notre offre de services de premier ordre. Et peut-être pour terminer, Steve, vous pourriez nous dire pourquoi nous sommes les meilleurs au Canada et quels sont certains des objectifs clés?
DAVID SANTINA : Oui. L’acquisition de Cowen, qui fait maintenant partie du groupe de la TD, nous offre une occasion en or. Cela nous permet vraiment de compléter notre gamme de produits. Cela nous aide vraiment à attirer des clients lorsque nous offrons des services différents et additionnels qui ne font pas partie de notre offre principale de services de courtage de premier ordre. La part d’exécution avec nos clients est très importante. Maintenant que nous avons plus une franchise de services bancaires d’investissement, de recherche, de fusions et acquisitions et d’exécution, cela va nous aider à investir dans ces types de fonds, dans plus de fonds d’actions, afin d’attirer plus de clients pour les services de courtage de premier ordre.
AMY VAN ARNHEM : Et, bien sûr, nous pouvons continuer à élargir notre offre de titres à revenu fixe aux États-Unis, ce qui continuera d’être avantageux pour l’entreprise.
DAVID SANTINA : Tout à fait.
AMY VAN ARNHEM : Maintenant, qu’en est-il au Canada? Quels sont les services clés dont vous êtes vraiment fier?
STEVE BANQUIER : Oui, juste avant d’en parler, j’aimerais faire un commentaire au sujet de Cowen. Nous avons récemment gagné la clientèle d’un fonds de couverture canadien qui privilégie les sociétés américaines à moyenne capitalisation. Ce fonds voulait un deuxième courtier de services de premier ordre, plus spécifiquement canadien. Et nous faisions partie du lot.
Cowen a été l’élément qui nous a réellement permis de gagner ce client, grâce à sa capacité d’exécuter des opérations aux États-Unis et d’offrir à la société un accès à la recherche et à l’entreprise. Ce fut le point décisif, parce que les prix et tous les autres éléments étaient similaires. Ce fut une bonne chose de pouvoir agir très rapidement.
Pour répondre à votre question sur le facteur de notre succès au Canada, je pense que c’est principalement une question de longévité. Nous avons été très constants avec nos clients. Nous simplifions les choses. Nous ne faisons rien à l’échelle internationale. Nous ne faisons rien de trop complexe. Nous offrons des actions cotées, des options et des titres à revenu fixe. Et nous le faisons bien.
Nous sommes donc très francs avec nos clients. C’est ce que nous pouvons faire pour vous, et nous le faisons bien. Le service est aussi primordial. Ça a l’air idiot, mais nous savons qu’il n’y a pas de boîte vocale dans le groupe. Quand vous entendez le téléphone, vous décrochez et vous aidez la personne au bout du fil. Quand vous recevez un courriel, vous vous assurez de répondre avant la fin de la journée, même si c’est pour dire: « je n’ai pas de réponse, mais je vous recontacterai ».
Ce sont des détails, mais je sais – en tant que client de banques, de compagnies de téléphone, ou autre – qu’avec le temps, c’est ainsi que vous bâtissez de bonnes relations. Cela devient plus un partenariat qui repose sur la confiance.
DAVID SANTINA : Oui, je suis tout à fait d’accord. Nous cherchons à développer nos activités selon une approche où nous travaillons en partenariat avec des fonds de couverture de type institutionnel qui correspondent à notre stratégie d’affaires et à notre profil de risque, dans un contexte où nous pouvons vraiment nous démarquer des autres grands fournisseurs aux États-Unis.
AMY VAN ARNHEM : Oui. Je peux confirmer que c’est un élément essentiel de notre travail et de nos relations avec les clients. En tant que directrice des relations, je travaille en étroite collaboration avec les équipes. Vous êtes d’excellents partenaires, et vous faites beaucoup pour nos clients. Merci beaucoup de vous être joints à moi aujourd’hui.
DAVID SANTINA : Merci.
STEVE BANQUIER : Merci, Amy.
[MUSIQUE]
NARRATEUR : Merci d’avoir écouté le balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Si vous avez aimé cet épisode, abonnez-vous à cette série dans Apple Podcasts ou sur votre plateforme de balados préférée. Pour accéder à du contenu de leadership éclairé, visitez tdsecurities.com, et suivez-nous sur LinkedIn pour connaître les dernières nouvelles de Valeurs Mobilières TD. Pour connaître les mentions juridiques relatives à ce balado, veuillez consulter la page de l’épisode Point de vue sur notre site Web.
Ce balado ne doit pas être copié, distribué, publié ou reproduit, en tout ou en partie. Les renseignements contenus dans cet enregistrement ont été obtenus de sources accessibles au public, n’ont pas fait l’objet d’une vérification indépendante de la part de Valeurs Mobilières TD, pourraient ne pas être à jour, et Valeurs Mobilières TD n’est pas tenue de fournir des mises à jour ou des changements. Toutes les références aux cours et les prévisions du marché sont en date de l’enregistrement. Les points de vue et les opinions exprimés dans ce balado ne sont pas nécessairement ceux de Valeurs Mobilières TD et peuvent différer de ceux d’autres services ou divisions de Valeurs Mobilières TD et de ses sociétés affiliées. Valeurs Mobilières TD ne fournit aucun conseil financier, économique, juridique, comptable ou fiscal ou de recommandations dans ce balado. Les renseignements contenus dans ce balado ne constituent pas des conseils de placement ni une offre d’achat ou de vente de titres ou de tout autre produit et ne doivent pas être utilisés pour évaluer une opération potentielle. Valeurs Mobilières TD et ses sociétés affiliées ne font aucune déclaration ou ne donnent aucune garantie, expresse ou implicite, quant à l’exactitude ou à l’exhaustivité des déclarations ou des renseignements contenus dans le présent balado et, par conséquent, déclinent expressément toute responsabilité (y compris en cas de perte ou de dommage direct, indirect ou consécutif).
David Santina
Directeur général, Division responsable des actions et chef, Services de courtage de premier ordre aux États-Unis, Valeurs Mobilières TD
David Santina
Directeur général, Division responsable des actions et chef, Services de courtage de premier ordre aux États-Unis, Valeurs Mobilières TD
David Santina
Directeur général, Division responsable des actions et chef, Services de courtage de premier ordre aux États-Unis, Valeurs Mobilières TD
David est responsable de la direction des Services de courtage de premier ordre et joue un rôle clé de stratégie et de croissance de la banque aux États-Unis. Avant de se joindre à Valeurs mobilières TD, David a travaillé chez Goldman Sachs pendant 25 ans. Il a d’abord travaillé à Toronto pour Goldman Sachs Canada, où il a bâti et géré pendant 12 ans leurs activités liées au marché monétaire canadien et aux secteurs des pensions. Il a ensuite déménagé aux États-Unis pour travailler au sein du groupe Global Prime Services de Goldman Sachs New York pendant 13 ans. Pour le groupe Prime Services de Goldman Sachs, David a géré les activités de prêt de titres aux États-Unis, en plus de collaborer au financement et à la gestion des biens affectés en garantie. David s’est joint à Valeurs Mobilières TD en 2015 à titre de directeur général, Division responsable des actions.
Steve Banquier
Directeur général et chef, Courtage de premier ordre, Valeurs Mobilières TD
Steve Banquier
Directeur général et chef, Courtage de premier ordre, Valeurs Mobilières TD
Steve Banquier
Directeur général et chef, Courtage de premier ordre, Valeurs Mobilières TD
Steve est responsable de la surveillance, de la gestion relationnelle, du développement des affaires et des produits et de la gouvernance d’une équipe de négociateurs, de directeurs des relations clients et de professionnels du développement des affaires. Avant de se joindre à Valeurs mobilières TD en 2011, Steve était directeur général, Courtage de premier ordre au sein de CIBC World Markets et de Deutsche Bank, où il avait acquis une vaste expérience mondiale dans des postes aux responsabilités croissantes à Londres, New York et Hong Kong.
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy est responsable d’offrir une couverture multiproduits mondiale complète aux hauts dirigeants pour des clients institutionnels canadiens. Dans le cadre de ses fonctions, elle gère les relations avec les intervenants en faisant la promotion d’une approche collaborative et intégrée à l’échelle de l’entreprise. Elle s’est jointe à la TD en 2001, dans le secteur de détail. En 2007, en participant au programme de rotation de Ventes et négociation à Valeurs Mobilières TD, elle a acquis de l’expérience en titrisation, en négociation pour compte propre et en actions institutionnelles. En 2008, elle s’est jointe à l’équipe Ventes d’actions institutionnelles, où elle traitait avec des clients canadiens.