La convergence de la numérisation et des institutions financières
Animateur: Amy Van Arnhem, Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients, Canada, Valeurs Mobilières TD
Invitee: Akhil Lamba, premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD et Dan Bosman, premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB)
Écoutez nos leaders en matière de transactions bancaires mondiales et de technologie, Akhil Lamba et Dan Bosman, discuter des façons dont les avancées dans les métavers, l’intelligence artificielle (IA), la monnaie numérique et le Web 3.0 nous poussent vers un univers de solutions personnalisées et adaptées à la clientèle.
Écoutez les autres épisodes pour connaître les points de vue de divers leaders d’opinion sur les thèmes clés qui influencent les marchés, les différents secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui. aujourd’hui.
AMY VAN ARNHEM : Bienvenue au balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Écoutez le point de vue de divers leaders d’opinion sur des thèmes clés qui influencent les marchés, les différents secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui. Nous espérons que vous apprécierez cet épisode.
Bonjour et bienvenue à l’épisode 13 du balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Je suis votre animatrice, Amy Van Arnhem, directrice principale des relations-clients à Valeurs Mobilières TD. Je suis accompagnée aujourd’hui d’Akhil Lamba, premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, et de Dan Bosman, chef de l’information et chef, Technologie. Aujourd’hui, on va parler de la numérisation rapide du secteur des services financiers. Merci à vous deux de vous être joints à moi.
AKHIL LAMBA : Merci, Amy.
DAN BOSMAN : Heureux d’être ici.
AMY VAN ARNHEM : J’ai un petit aveu à faire avant de passer aux questions. Quand j’ai commencé ma carrière en finance, il y a 20 ans, je n’aurais jamais pensé que la technologie serait un élément clé de ce que je faisais au quotidien. Je pensais que je devrais apprendre Excel et la modélisation financière, et que ça serait suffisant.
Eh bien, 20 ans plus tard, et je pense qu’on peut dire sans se tromper que la technologie fait maintenant partie intégrante du secteur. C’est pourquoi c’est vraiment incroyable d’avoir des gens du milieu aujourd’hui pour parler de ça. Akhil, qui compte 20 ans d’expérience dans le domaine des transactions bancaires mondiales, et Dan, 20 ans d’expérience dans le domaine des technologies. Deux grands experts pour approfondir le sujet de la numérisation.
Pour commencer, Akhil, vous pourriez peut-être parler de Sibos. C’est une conférence qui aura lieu cette année du 10 au 13 octobre à Amsterdam. Elle va regrouper des centaines d’institutions financières mondiales sous un même toit, y compris Valeurs Mobilières TD. Pouvez-vous nous donner un aperçu de ce qui se passe à Sibos et des raisons pour lesquelles cette conférence est considérée comme un événement phare pour de nombreuses institutions financières?
AKHIL LAMBA : Sibos est organisée par SWIFT, la Society for World Interbank Financial Telecommunications, la façon dont les banques se parlent et communiquent entre elles en toute sécurité. Sibos a commencé comme une conférence sur la technologie et, au fil de nombreuses années, s’est transformée en une conférence sur la technologie et sur les relations. En général, entre 7 000 et 10 000 personnes y assistent. Elle englobe l’aspect des relations, l’aspect de la technologie et l’aspect du développement de nouveaux produits du secteur. Il y a donc des banques, des entreprises de technologie financière et de grandes sociétés technologiques qui travaillent sous le même toit pendant quatre ou cinq jours pour essayer de faire des affaires et de comprendre les nouveautés dans le domaine des services bancaires.
AMY VAN ARNHEM : Wow. C’est excitant. Donc, Dan, le thème de la conférence de cette année est la finance progressive pour un monde en évolution. L’accent est mis sur la façon dont les fournisseurs de services financiers peuvent repérer, adapter et faire évoluer des innovations, et gérer le risque dans un monde incertain. Pour un secteur qui est un peu réputé pour être traditionnel, quelles innovations voyez-vous émerger actuellement dans le domaine des services financiers?
DAN BOSMAN : Premièrement, je dirais de remettre en question cette description de « réputé pour être traditionnel ». Je pense qu’historiquement, le secteur bancaire et le secteur des services financiers ont fait preuve de beaucoup d’innovation et ont été avant-gardistes. Je pense que les événements de participation comme Sibos en sont un élément clé. Ce qu’on sait, c’est qu’il y a beaucoup de choses à apprendre de l’ensemble de la communauté des technologies financières, et certainement des innovations dans les services bancaires ouverts. Certains changements liés à la réglementation stimulent l’innovation dont certains segments de notre secteur ont grandement besoin.
On voit des choses comme l’infonuagique et les données, bien que ce ne soit pas nouveau pour certaines des grandes entreprises technologies, qui commencent vraiment à se répandre dans notre secteur. Il y a beaucoup de mouvement en ce qui a trait à des choses comme le maillage de données, la fabrique de données, qui sont vraiment la base. En plus de ça, on doit se demander comment communiquer avec nos clients et partager leurs données. Il pourrait s’agir d’API, de microservices et d’autre chose. L’infonuagique est certainement un outil très utile pour nous. Je sais que c’est un élément important de notre stratégie à la TD. En réalité, on se tourne toujours vers la communauté des technologies financières et on cherche des partenaires, des personnes qu’on peut soutenir et des personnes qui peuvent apporter cette technologie à la TD pour nous aider à répondre aux besoins de notre clientèle.
AMY VAN ARNHEM : OK, super. On va certainement parler plus en détail de certaines des choses que vous avez mentionnées dans votre réponse un peu plus tard. Akhil, vous pourriez peut-être nous parler plus précisément des services bancaires ouverts. D’après ce que je comprends, ça permet essentiellement aux clients de partager des données financières avec des entreprises de technologie financière en toute sécurité.
Récemment, on a été témoins de l’adoption des services bancaires ouverts au Royaume-Uni et en Australie. Que pensez-vous du secteur de la trésorerie? Selon vous, quel rôle les services bancaires ouverts pourraient-ils y jouer?
AKHIL LAMBA : Quand on parle des services bancaires ouverts, il faut adapter son point de vue et le segmenter en fonction du marché avec lequel on fait affaire. Les services bancaires ouverts sont relativement nouveaux dans le secteur des services bancaires de détail. Ils le sont aussi pour la gestion de patrimoine. Mais ils existent depuis longtemps dans les services bancaires de gros. Ce que je veux dire par là, c’est qu’on partage des données avec nos clients et eux sont en mesure d’effectuer des opérations avec nous et plusieurs institutions financières depuis un certain nombre d’années déjà.
Et ils le font grâce à des moyens très sophistiqués qu’on appelle des solutions de gestion de trésorerie. Ce qui change vraiment, c’est notre façon de communiquer avec les clients. Et là où l’on en est, Dan y a un peu fait allusion, ce sont les API, c’est-à-dire l’interface de programmation d’applications. C’est en quelque sorte la prochaine phase des services bancaires ouverts dans les services bancaires de gros pour les trésoreries d’entreprises, en fait, surtout pour celles-ci, mais aussi les institutions financières.
Le problème avec les API aujourd’hui, c’est qu’il n’y a pas de format normalisé. L’adoption a donc été un peu lente, mais je pense qu’à très court terme, cela va se corriger de lui-même. On peut déjà le constater. L’adoption des API va s’accélérer. Mais les API seront le principal moyen de communication qui permettra aux banques comme la nôtre et à d’autres institutions financières d’interagir avec les clients. Et les clients peuvent choisir les services qu’ils veulent avec plusieurs fournisseurs en même temps. Ce sera donc un univers entièrement ouvert en ce qui concerne la gestion de trésorerie et le marché des services bancaires de gros.
AMY VAN ARNHEM : OK, je veux juste comprendre un peu mieux. Pour préciser un peu ce que vous voulez dire, est-ce qu’un client aura accès à une gamme de produits auprès de tous les différents fournisseurs et qu’il sera en mesure de choisir avec lesquels il fera affaire?
AKHIL LAMBA : Absolument. En fait, les API sont la connectivité entre la Banque et les clients. Aujourd’hui, notre principal moyen de communication avec les trésoreries des grandes sociétés est ce qu’on appelle la connexion d’hôte à hôte, c’est-à-dire l’échange de données d’un ordinateur central à un ordinateur central. Et avec les API, ce qui va se passer, c’est qu’ils peuvent choisir une donnée d’une institution, une autre donnée ou un service d’une autre institution.
C’est beaucoup plus souple. Pour simplifier, c’est un peu comme une application prête à utiliser. Le client peut donc choisir les meilleurs services, les meilleurs produits qui lui sont offerts par une multitude de fournisseurs, et ce, de façon très économique.
AMY VAN ARNHEM : Wow. On dirait que ça pourrait bien changer l’environnement concurrentiel. Alors, Dan, pour passer à un autre sujet, on a récemment vu plusieurs secteurs et entreprises mettre en œuvre l’intelligence artificielle dans leurs affaires courantes. Ça démontre, je suppose, que l’intelligence artificielle, ou l’IA, n’en est plus à l’étape exploratoire. Et c’était un grand thème au Sibos de cette année. De quelles façons les institutions financières tirent-elles parti de l’IA dans leurs solutions aux clients? Et selon vous, quel est l’avenir de l’IA dans le secteur bancaire?
DAN BOSMAN : C’est une excellente question. Je pense que les institutions financières ne font qu’effleurer la surface en ce qui a trait à l’IA et à l’apprentissage automatique. Mais on sait qu’il y a beaucoup de processus d’affaires qui pourraient en tirer profit. Il pourrait s’agir de l’amélioration des cotations et des négociations, de diverses occasions de génération de revenus, jusqu’à l’efficacité opérationnelle ou des éléments comme la gestion de la fraude ou la LCBA. Mais là où l’on a vu d’excellents cas d’utilisation, en fait, c’est du côté des services bancaires de détail. Si l’on pense à la détection de la fraude, à d’énormes ensembles de données, à la recherche d’activités douteuses, ça commence à s’accumuler.
On ne fait que commencer. Je pense que c’est un domaine dans lequel la plupart des banques investissent beaucoup. Il y a quelques années, à la TD, on a fait l’acquisition de Layer 6, l’une des meilleures entreprises du domaine. Notre division Marchés mondiaux a enregistré d’excellents résultats, et l’on cherche à utiliser notre propre apprentissage automatique pour établir les tarifs. Encore une fois, on ne fait que commencer. Pour faire le lien avec le thème des données, pour tout ce qui concerne l’IA et l’apprentissage automatique, il faut avoir des ensembles de données propres pour l’exercer et l’aider à apprendre. Et je reviens à certaines des discussions sur les données, sur les API et sur l’accessibilité des données; c’est un élément fondamental qui, lorsqu’il est bien fait, libère la valeur de l’IA, de l’apprentissage automatique et de certaines autres innovations.
AMY VAN ARNHEM : Et la LCBA est la lutte contre le blanchiment d’argent.
DAN BOSMAN : La lutte contre le blanchiment d’argent. En effet.
AMY VAN ARNHEM : Oui. Non, je pense que l’IA est très importante pour servir nos clients, surtout de mon point de vue. Et comme les activités des clients se font de plus en plus en ligne, pouvoir offrir un modèle de service fluide, pas seulement en personne…
DAN BOSMAN : Eh bien, quand on regarde notre vie personnelle, c’est là qu’on peut voir l’exemple le plus simple : le téléphone. Pensez aux publicités qu’on y voit. Elles nous sont adaptées, n’est-ce pas? C’est parce que les sociétés ont toutes ces données et qu’elles comprennent nos comportements et ce qu’on veut voir. Je ne dis pas qu’on peut faire directement la même chose dans notre secteur. Mais on sait qu’il y a des occasions pour nous de déployer cette technologie dans nos activités en contact avec les clients. Et on le fait.
AMY VAN ARNHEM : Dan, j’ai une autre question pour vous, et je pense qu’on a tous beaucoup entendu parler du métavers ces derniers temps. Même avant de venir, j’ai vu des manchettes à la télévision sur la possibilité d’acheter ou de vendre des produits dans le métavers. On voit actuellement de nombreuses grandes entreprises revendiquer la propriété de leur terrain virtuel. Croyez-vous qu’il y a une place dans le métavers pour les sociétés des marchés des financiers? Selon vous, devraient-elles commencer à acheter de l’espace?
[RIRES]
DAN BOSMAN : Eh bien, écoutez, je pense que le succès du métavers est défini par des casques de réalité virtuelle et un monde 3D immersif, comme dans un jeu vidéo. Je pense que c’est toujours à l’étude. Mais la vérité derrière tout ça, c’est que des technologies et des fondations alimentent le métavers. On entend dire que le Web 3.0 en est une grande partie. Et je pense que l’une des tendances qu’on peut observer, ce sont des choses qui pourraient nous être utiles, comme fédérer et décentraliser la gestion de l’identité dans le métavers. Comment peut-on savoir l’identité réelle d’une personne dans le métavers?
Ce sont ces technologies qui ont des répercussions directes sur nos activités. Alors, même s’il est probablement un peu tôt pour faire de la spéculation et acheter des terrains dans le métavers, je pense que beaucoup de technologies autour du Web 3.0 sur la finance décentralisée pourraient nous aider à connaître un avenir florissant et à mieux servir nos clients. Alors, je ne rejetterais pas cette technologie.
J’ai eu une réflexion sur jusqu’où cette expérience pourrait aller. Pendant la pandémie, on a vu des gens acheter des maisons à partir d’une visite guidée en 3D dans Zillow. Il n’est pas exagéré de dire que si l’on a une ville ou une maison jumelle virtuelle, on peut aller jusqu’au bout de ce cycle de vie d’une manière virtuelle : demander un prêt hypothécaire et véritablement acheter une maison, mais avec un jumeau virtuel, par exemple. Je pense qu’on peut l’appliquer à beaucoup de choses.
Est-ce que quelqu’un se promène dans la salle des marchés avec un casque 3D en ce moment? Pas encore. Mais je vais garder l’œil ouvert sur ce secteur.
AMY VAN ARNHEM : Eh bien, parlant de décentralisation, un autre sujet de l’heure, Akhil, est les monnaies numériques. On voit clairement que ça atteint un point culminant. Et de nombreuses institutions financières en prennent note. Selon vous, comment la nouvelle ère des monnaies numériques pourrait-elle façonner l’avenir du domaine des paiements?
AKHIL LAMBA : Je me demande pourquoi je reçois toutes ces...
AMY VAN ARNHEM : [RIRES]
AKHIL LAMBA : ... questions difficiles. Écoutez, je pense qu’il faut diviser cette conversation en deux éléments. Il y a la cryptomonnaie... le bitcoin est probablement le plus important dans ce domaine. Je ne pense pas que cela perturbe beaucoup le domaine des paiements à court ou à moyen terme. Je ne constate pas beaucoup l’utilisation de cette devise. Même dans le domaine de la trésorerie d’entreprise, je ne vois pas... je connais des sociétés qui ont investi dans la cryptomonnaie comme conservation de la richesse. Mais je ne pense pas que ce soit généralisé parmi les différents trésoriers d’entreprise qui se demandent s’ils veulent conserver la cryptomonnaie comme monnaie de réserve de trésorerie.
Je vais changer ça. Ce que je vois, c’est la monnaie numérique de banque centrale de gros, la MNBC, comme on l’appelle, et c’est la technologie sous-jacente, qui est, encore une fois, la technologie du registre distribué. Et ce que ça fait, c’est vraiment repousser les limites des anciens systèmes. Et ça fait en sorte que tout est disponible en tout temps. C’est plus prévisible. Une validation préalable est en cours. Et cela réduit le risque de règlement au moyen de contrats intelligents.
Certains avantages qui sont évidents... essentiellement, nous pourrions probablement réaliser beaucoup de ces avantages grâce à nos anciens systèmes que nous avons déjà en modifiant nos modèles d’affaires [INAUDIBLE] pour expliquer simplement, nos règlements et la validation préalable au moyen de SWIFT. Nous avons parlé de SWIFT comme étant la principale base sur laquelle les banques communiquent entre elles dans un environnement sécuritaire et lors de l’échange de fonds.
Je ne sais pas si cela va se produire, si c’est de la façon dont ça va se passer. Il y a d’autres choses qui émergent et qui ressortent de toute cette discussion entre les banques centrales, c’est ce qu’on appelle le RLN, le Regulated Liabilities Network, qui est en fait un partenariat public-privé. C’est là que les banques et les banques centrales collaboreraient pour faciliter les paiements en format numérique dans une devise. Et nous commencerons à voir certains des avantages.
Ce que je vois comme avantage à la fin de tout ça, c’est que ces technologies émergentes vont nous pousser vers un environnement plus sécuritaire. Cela nous incitera à être accessibles et disponibles 365 jours par semaine, 24 heures sur 24. Les règlements se feront en temps réel. Ça c’est sûr.
Il y aura donc des avantages très importants sur le plan de la liquidité et de la gestion des risques. Peu importe que les banques centrales adoptent ou non la technologie. À la fin, je pense que vous allez voir ces avantages.
AMY VAN ARNHEM : Et serons-nous payés à l’heure, à la minute, à la seconde?
[RIRES]
AKHIL LAMBA : Bonne question.
AMY VAN ARNHEM : Je vous mets peut-être un peu sur la sellette en vous posant cette question, mais pensez-vous que la Banque du Canada passera à une monnaie numérique au cours de la prochaine décennie?
AKHIL LAMBA : Je pense que oui. Je pense que c’est logique. À certains égards, ce qu’on appelle le système de règlement brut en temps réel, c’est comme ça que toutes les banques se règlent entre elles au Canada. En fin de compte, c’est vraiment une devise numérique. C’est comme ça qu’on procède aux règlements.
La Banque du Canada le fera-t-elle aussi? Je prévois qu’à un moment donné, nous aurons des comptes entièrement numériques. Je ne sais même pas s’il y aura une utilisation prolifique des billets dans certaines économies. En particulier dans les pays nordiques, vous le constatez déjà, lorsque l’utilisation des billets ou autres monnaies fiduciaires en format papier ou physique diminue considérablement.
Je pense que nous voulons tous voir une certaine forme de devise numérique, mais il reste à voir à quel point elle sera répandue et à quel point elle sera inclusive pour l’ensemble de la collectivité. Croyez-le ou non, dans certains marchés du G7, il y a beaucoup de gens qui n’ont pas de compte bancaire, même aujourd’hui. Donc, tout type de numérisation doit aussi tenir compte de ce type de changements.
AMY VAN ARNHEM : Eh bien, ça a été super. Je vous remercie tous les deux d’être venus nous parler aujourd’hui. On a ici seulement effleuré la surface de ces sujets. Mais merci. Nous avons hâte d’entendre les points à retenir de la conférence.
AKHIL LAMBA : Merci.
DAN BOSMAN : Merci.
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Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients, Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients, Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients, Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy est responsable d’offrir une couverture multiproduits mondiale et globale aux hauts dirigeants pour des clients institutionnels canadiens. Dans le cadre de ses fonctions, elle gère les relations avec les intervenants en faisant la promotion d’une approche collaborative et intégrée à l’échelle de l’entreprise. Elle s’est jointe à notre entreprise en 2001 et a commencé sa carrière à la TD dans le secteur du commerce de détail. En 2007, Mme Van Arnhem s’est jointe au programme de rotation de Ventes et négociation à Valeurs Mobilières TD, dans le cadre duquel elle a acquis de l’expérience en titrisation, en part d’associé et en actions institutionnelles. En 2008, elle s’est jointe à l’équipe Ventes d’actions institutionnelles, où elle traitait avec des clients d’actions canadiennes.
Akhil Lamba
Premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD
Akhil Lamba
Premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD
Akhil Lamba
Premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD
Akhil est le premier directeur général et le chef, Transactions bancaires mondiales. Il dirige les équipes Gestion de trésorerie d’entreprises, Institutions financières, Financement du commerce mondial, Financement des exportations et pour le compte de tiers. Akhil donne aux clients accès à des occasions, à des réseaux étendus et à des solutions novatrices. Il satisfait aux besoins de la clientèle en matière de transaction bancaires mondiales grâce à l’approche axée sur les relations éprouvée de Valeurs Mobilières TD et en s’appuyant sur la force et la fiabilité d’une des banques les plus sûres du monde.
Dan Bosman
Premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB).
Dan Bosman
Premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB).
Dan Bosman
Premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB).
Dan Bosman est le premier directeur général et le chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB). Il est responsable de tous les flux de techologie mondiale et de la mise en œuvre de solutions de technologie novatrices et proactives visant à favoriser l’atteinte des objectifs d’affaires de Valeurs Mobilières TD et les stratégies de croissance. Il a joué un rôle essentiel dans le changement de nos pratiques de livraison de projets visant à mettre davantage l’accent sur la responsabilité de produit et les pratiques agiles. Grâce à l’attention particulière portée aux infrastructures partagées, à la livraison de produits, à l’expérience des développeurs et aux partenariats avec des collègues à l’échelle de Valeurs Mobilières TD, son équipe a mis en place une plateforme technologique primée. En 2017, Dan a également été reconnu en se voyant figurer sur la liste des 100 leaders des technologies établie par Computerworld d’IDG.