Risque ou récompense? Un regard sur l’avenir des institutions financières marqué par l’IA
Le balado est disponible en anglais seulement.
Invitees: Akhil Lamba, premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD et Dan Bosman, premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB)
Animateur: Amy Van Arnhem, Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients, Canada, Valeurs Mobilières TD
L’IA façonnera-t-elle l’avenir des institutions financières? Écoutez Akhil Lamba et Dan Bosman s’entretenir avec Amy Van Arnhem à propos de certaines tendances en constante évolution, comme l’IA prédictive et générative, les chaînes de blocs et les monnaies numériques des banques centrales, alors que l’environnement tend de plus en plus vers le numérique.
Écoutez les autres épisodes pour connaître les points de vue de divers leaders d’opinion sur les thèmes clés qui influencent les marchés, les différents secteurs et l’économie mondiale aujourd’hui. aujourd’hui.
Ce balado a été enregistré le 6 Septembre, 2023.
NARRATRICE : Bienvenue au balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Écoutez le point de vue de leaders d’opinion sur des thèmes clés qui influencent les marchés, les secteurs et l’économie mondiale en ce moment. Espérons que vous aimerez cet épisode.
AMY VAN ARNHEM : Bienvenue à l’épisode 23 du balado Point de vue de Valeurs Mobilières TD. Ici Amy Van Arnhem, je serai votre animatrice pour l’épisode d’aujourd’hui. Je suis avec deux collègues : Akhil Lamba, premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, et Dan Bosman, chef de l’information et chef, Technologie.
Akhil a plus de 20 ans d’expérience dans les opérations bancaires mondiales – son rôle est d’offrir aux clients des occasions, des réseaux et des solutions novatrices. Dan a plus de 20 ans d’expérience en technologie – il met en place des solutions avancées et proactives pour nous aider dans le secteur à mieux servir nos clients. Merci à vous deux d’être là aujourd’hui.
DAN BOSMAN : Merci de l’invitation.
AKHIL LAMBA : Merci, Amy.
AMY VAN ARNHEM : L’an passé, on a eu le plaisir de vous accueillir tous les deux, juste avant la conférence Sibos de 2022. On a parlé d’évolution entourant l’IA, le métavers, la monnaie numérique et le Web 3.0, qui tend à un univers ouvert de personnalisation et d’adaptation aux solutions axées sur la clientèle.
Cette année, la conférence Sibos aura lieu ici, à Toronto, du 18 au 21 septembre. Elle réunira des centaines d’institutions financières mondiales sous un même toit, incluant la TD.
Je suis donc ravie de vous accueillir à nouveau à l’aube de la conférence 2023. Allons-y tout de suite avec quelques questions... Akhil, peux-tu décrire brièvement ce qui se passe à Sibos? Pourquoi est-ce un événement phare pour tant d’institutions financières dans le monde?
AKHIL LAMBA : Bien sûr... merci de l’invitation. Je suis heureux d’assister à Sibos. Et à Toronto, c’est emballant. Sibos, c’est le rendez-vous de 7 000 à 8 000 personnes du secteur bancaire et de l’industrie élargie. C’est le grand carrefour des institutions qui peuvent se mesurer l’une à l’autre, mais aussi là où les institutions envisagent des possibilités de collaboration.
C’est là où les esprits se rencontrent. Comment unir les forces pour créer et offrir des produits améliorés aux clients? Comment s’unir pour traiter d’enjeux d’actualité, comme la fraude ou les cyberattaques? Et comment collaborer à accroître la sécurité des paiements opérés sur le globe, comme l’exige le commerce mondial?
Sibos est un rassemblement spécialement consacré à ces questions. On y trouve des partenaires bancaires, des partenaires technologiques, et des experts sectoriels de partout dans le monde. C’est emballant et ça va se passer à Toronto. Je m’attends à un énorme succès. J’espère qu’on accueillera 7 000 à 8 000 participants. Si je ne m’abuse, ce sera la deuxième conférence post-COVID. J’ai bien hâte d’y assister.
AMY VAN ARNHEM : Oh, super. Les rues de Toronto seront sans doute un peu plus animées. La conférence porte cette année sur la finance collaborative dans un monde fragmenté, soit la collaboration pour un secteur financier inclusif et durable, la gestion des risques en temps d’incertitudes économiques et géopolitiques et la recherche d’équilibre entre les technologies et la confiance. Akhil, quels enjeux et perspectives marquent l’année pour toi? Qu’anticipes-tu en 2024?
AKHIL LAMBA : Il se passe beaucoup de choses dans le secteur. On se rappelle, il y a quelques mois, la déroute de certaines banques régionales aux États-Unis. La réglementation se resserre pour les banques en ce moment et toute la communauté. Le CFD, le conseil de stabilité financière, suit la feuille de route du G20 pour améliorer les paiements transfrontaliers. Il donne à l’industrie jusqu’en 2027 pour gérer notamment les coûts, la rapidité, l’accès et la transparence en regard des paiements transfrontaliers.
L’agrégation et le partage de données forment un autre grand thème lié à d’autres, comme les cyberattaques et la fraude, qui sévissent mondialement. On se doit d’y travailler ensemble... ainsi qu’à l’innovation collaborative : comment en faire profiter les clients? Comment innover ensemble comme communauté? Il est aussi question du concept des technologies financières. Comment les utilise-t-on? Comment en tirer parti? Comment s’allier aux sociétés de technologies financières?
Elles comblent des lacunes. Les banques ne peuvent voir à tout. Ces sociétés s’imposent de plus en plus et gagneront de l’importance en 2024. On va parler un peu d’IA et de son intégration dans l’univers des opérations bancaires – l’analyse des données, leur surveillance et leur traitement.
La chaîne de blocs, croyez-le ou non, est encore d’actualité. En dehors des cryptos, comment créer une infrastructure plus efficace? On parlera de RLN, Avisa, Patio... et d’argent électronique au-delà des cryptoactifs, notamment de MNBC, la monnaie numérique de banque centrale. Voilà les thèmes autour desquels les institutions vont collaborer et unir leurs forces pour améliorer l’expérience de nos clients et leur offrir une gamme de produits plus efficace.
AMY VAN ARNHEM : Excellent. On reviendra en partie sur des thèmes clés que tu viens de mentionner, mais pour l’instant, il y a un sujet que je tiens à aborder, Akhil, à savoir l’ISO 20022... j’imagine que c’est le bon terme... C’est une norme de messagerie adoptée par diverses institutions financières depuis le début de l’année. Peux-tu expliquer son intérêt et comment elle s’apprête à régir les paiements transfrontaliers? Comment l’ISO 20022 va-t-elle améliorer le traitement des paiements?
AKHIL LAMBA : Bien sûr... L’ISO 20022, c’est tout un morceau, oui... c’est un jalon significatif. C’est une première mondiale dans l’univers des paiements transfrontaliers de recourir à un langage commun. L’ISO 20022 va servir à deux choses... D’abord, elle laisse très peu de place aux erreurs d’interprétation. Et l’autre avantage majeur de l’ISO 20022, à mon sens... un des aspects les plus importants, c’est le traitement des données et leur agrégation.
Il s’agit d’une norme précieuse pour les banques, mais elle servira surtout la clientèle. Les banques vont s’appuyer sur une partie, voire l’agrégation des données, pour déployer des services à valeur ajoutée en matière de détection de la fraude, de prévision des risques, d’anticipation des marchés, etc.
Mais les clients auront un accès élargi aux tendances démographiques, à la gestion de liquidités et aux prévisions de flux de trésorerie, y compris aux comptes fournisseurs et aux rapprochements de comptes clients, incluant l’impact sur l’approvisionnement. On peut s’attendre à une efficacité accrue du système et à des coûts moindres au bout du compte.
AMY VAN ARNHEM : Dan, depuis l’an dernier, l’IA reste un thème central. Juste deux mois après son lancement, ChatGPT avait 100 millions d’utilisateurs actifs – la plus forte croissance jamais vue pour une appli. En quoi l’IA générative devrait-elle influencer les institutions financières? Dans quelle mesure les technologies comme l’IA générative et les modèles de langage devraient-elles faciliter les solutions et l’expérience pour les clients?
DAN BOSMAN : L’IA générative n’était pas vraiment dans notre radar l’an dernier, mais elle intéresse évidemment beaucoup de gens. Aucune surprise ici... À mes yeux, l’adoption de l’IA dans le secteur financier est en hausse. Je dirais qu’environ 75 % des grandes banques créent des services basés sur l’IA. Et on entrevoit une accélération.
Selon certaines études, l’IA pourrait générer 9 $G de valeur par année dans les services financiers d’ici 2030. Les possibilités sont là. Je dirais, comme l’an passé, que l’IA prédictive recèle encore d’occasions pour dégager de la valeur. Cela dit, le sentier me semble un peu plus balisé pour les institutions du Sud.
Du côté de l’IA générative, je perçois un énorme potentiel, et je crois qu’il nous reste beaucoup à faire et à apprendre pour élever l’IA générative à un « niveau entreprise ». On en est à s’interroger sur la sécurité, la conformité, la fuite de propriété intellectuelle, la gestion exemplaire de droits d’auteur, l’exactitude et la préparation organisationnelle.
Ce que je constate, toutefois, c’est que certains secteurs progressent plus vite que d’autres. Juste du côté acheteur, vous trouverez sûrement des tonnes de cas d’usage à l’appui. Les institutions comme la TD, bien sûr, tentent de suivre moyennant tout de même une approche prudente au fil des développements.
Je conçois plus ou moins quatre grands champs d’intérêt, dont les outils de type Copilot. En tant que ressource techno autour de la table, je peux dire que les copilotes et la cogénération sont intéressants. Certains partenaires usent déjà d’outils de productivité personnelle, de copilotes.
AMY VAN ARNHEM : Tu parles de copilotes... Peux-tu expliquer ce que tu entends par là...
DAN BOSMAN : Oui, bien sûr.
AMY VAN ARNHEM : ... à ceux qui ne s’y connaissent pas?
DAN BOSMAN : Bien sûr! En termes de code, il s’agit de compléments automatiques super intelligents. Vous savez, sur le téléphone, quand on écrit et qu’un mot suivant est proposé? Imaginez un appareil capable de prédire le code que vous tentez de rédiger pour résoudre un problème opérationnel ou, dans le cas de Microsoft Office, la possibilité de décrire une présentation que vous avez en tête.
Et comme par magie, vous auriez un gabarit et du contenu conformes aux normes de votre entreprise. C’est l’idée derrière les copilotes. Voyez-les comme des gens à vos côtés qui facilitent votre travail et transposent ce que vous voulez faire.
AMY VAN ARNHEM : Comme un bras droit ou une personne qu’on recrute...
DAN BOSMAN : C’est une bonne façon de le voir, tout à fait. Mais encore, c’est une desserte qui simplifie le trajet. Il va de soi qu’on consacre beaucoup de temps et d’énergie à rédiger du code et à créer des technologies. S’il existe un moyen d’être plus efficace, on doit vraiment s’y intéresser.
Comme autres champs d’intérêt, je citerais la gestion des connaissances et les modes de recherche plus intuitifs dans les contenus des organisations. Un bon cas d’usage mettrait en scène, par exemple, un centre de contact, où il est possible d’accéder à toute l’information de l’organisation, mais de manière superficielle et facile à comprendre pour les employés.
La synthèse de documents est une autre avenue. On doit traiter avec des documents hautement complexes – réglementation, recherche, etc. Vivement un moyen de les parcourir et de résumer l’information complexe pour simplifier à la fois sa consultation et la génération de contenu... On en a parlé, mais il existe bien des cas d’usage.
J’imagine l’avantage pour des gens en phase d’expérimentation et d’apprentissage – comme il y en a dans notre secteur. Encore ici, il faut envisager un déploiement de classe entreprise en ce sens. La barre est plus haute que du côté consommateur, mais on comprend que les technologies et l’IA sont transformatrices. Reste juste à savoir quand et comment on fonce pour en optimiser la valeur.
AMY VAN ARNHEM : Oui... Je dois dire que le sujet revient souvent parmi les clients – ils cherchent à saisir comment la TD et d’autres institutions financières du genre comptent se servir ou, du moins, tenir compte de ces outils à partir d’ici. Quels sont les domaines qu’on entrevoit développer, etc. En bref, on va garder un œil là-dessus et surveiller ce qui s’en vient.
Autre thème soutenu qui en préoccupe beaucoup : la cybersécurité. Dan, parle-nous un peu des tendances en cybersécurité qui influencent les stratégies des institutions financières, leurs clients et leurs partenaires...
DAN BOSMAN : Oui... C’est pertinent. Il y a toujours de nouvelles tendances et menaces qui gravitent autour de notre organisation et de nos clients. On parlait d’IA et d’apprentissage machine... J’entrevois de superbes occasions, mais aussi d’éventuels détournements des technologies...
C’est un domaine qui va attirer l’attention dans les années à venir. Pensez juste aux hypertrucages, où l’image et la voix d’une personne peuvent servir à en produire une copie assez réaliste. Ils sont appelés à se multiplier et on aura sans doute de plus en plus de mal à distinguer le vrai du faux. C’est très intéressant, cette recherche de preuve d’humanité. Dans le monde numérique, comment savoir si on parle à une machine ou à une personne?
Mais avant d’aller trop loin dans les possibilités de l’IA et de l’apprentissage machine, il reste des lieux communs à explorer. Les rançongiciels sont préoccupants pour les banques et autres institutions, sans compter la fraude psychologique et l’hameçonnage, notamment par SMS. On a tous été formés, et on comprend sûrement de quoi il s’agit, mais on parle de fraudeurs qui tentent de manipuler leur cible en soutirant de l’information personnelle ou confidentielle. C’est un risque soutenu pour des organisations comme la nôtre.
Je l’ai dit, la TD excelle pour ce qui est de faciliter le suivi des menaces émergentes. Elle a investi dans le Centre de fusion, qui couvre l’international et chapeaute à la fois la production de rapports, l’analyse de données, la gestion de crises et une surveillance intégrée. C’est une organisation qui, je trouve, offre une énorme valeur ajoutée parce qu’elle agit dans ce sens-là.
Nos équipes comptent beaucoup sur le partage d’information entre les gros noms du secteur et les agences gouvernementales pour rester au fait et adapter les stratégies. Dans notre cas, on cherche toujours à protéger nos clients, collègues et parties prenantes un maximum des cyberattaques. On essaie d’aller au-devant d’un tas de menaces en perpétuelle évolution.
AMY VAN ARNHEM : Je comprends que le sujet s’impose partout, y compris à la conférence.
AKHIL LAMBA : C’est intéressant ce que tu racontes, Dan, sur l’IA. J’ai lu récemment un texte sur des malfaiteurs qui utilisent l’IA, surtout l’IA générative, pour s’adonner à la fraude ou au blanchiment d’argent. On le sait, les opérations bancaires et les virements transfrontaliers présentent un risque élevé en termes de LCBA.
Il sera intéressant de voir comment l’IA servira aussi à contrer la fraude et les tendances de blanchiment qui émergent des trafiquants de l’IA. Difficile de détecter de tels cas de fraude sans recourir soi-même à l’IA pour les anticiper et les surveiller.
DAN BOSMAN : Tu mets le doigt dessus, Akhil. C’est tout à fait ça. On va sûrement déployer ces technologies contre la fraude et le blanchiment. J’entrevois un investissement continu dans le secteur à cet effet. Mais les escrocs subsistent, et ils vont chercher des occasions de détourner ce type de technologie, encore et encore.
C’est une sorte de course à l’armement, la technologie d’IA confère une grande puissance. Lorsqu’elle sera déployée à l’appui de nos clients et à des fins de protection, je pense qu’elle dégagera une énorme valeur.
AMY VAN ARNHEM : Il faut combattre le feu par le feu, non?
DAN BOSMAN : Exactement!
AMY VAN ARNHEM : J’aimerais aborder un autre point avec toi, Akhil... Tu l’as mentionné dans les thèmes... Et je t’avais mis sur la sellette, l’an passé, au sujet d’une éventuelle monnaie numérique de banque centrale, te demandant si c’est concevable dans la prochaine décennie... Y a-t-il eu des développements, depuis, que tu qualifierais de majeurs? As-tu changé d’idée concernant non seulement la monnaie numérique de banque centrale, mais aussi la chaîne de blocs en général?
AKHIL LAMBA : Non, mon point de vue est le même. Si on regarde la technologie de chaîne de blocs ou les dispositifs d’enregistrement électronique partagé et qu’on les isole de la crypto – je constate une certaine confusion entre les deux... La chaîne de blocs peut s’avérer super utile sous divers aspects dans notre secteur et ailleurs...
Je n’entrevois pas sa disparition. J’imagine juste une évolution technologique, y compris dans l’univers des paiements, mais aussi en termes de sécurité, de propriété... Je pense à l’immobilier, aux titres de propriété, à un supplément de clarté... Il existe plusieurs façons de tirer parti de cette technologie, qui devrait se révéler pertinente à partir d’ici.
Quant à la crypto, je ne suis pas convaincu de son utilité et de sa valeur. Je ne sais même pas si les gouvernements du G10, du G7 ou du G20 vont l’adopter de façon officielle. Or, l’adoption d’une monnaie numérique de banque centrale m’apparaît plausible, mais je n’imagine pas l’argent papier disparaître. Je vois que le sujet fait beaucoup jaser.
Il reste un tas de gens, croyez-le ou non, même en Amérique du Nord, qui ne font pas affaire avec les banques. L’utilité de l’argent physique va rester, mais oui, je peux concevoir une monnaie numérique des banques centrales.
AMY VAN ARNHEM : Fantastique. Voilà, merci à vous deux pour ce nouvel échange avant la conférence Sibos de cette année. C’est intéressant et emballant de savoir que ce sera à Toronto. Je vous remercie tous les deux.
[MUSIQUE]
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Akhil Lamba
Premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD
Akhil Lamba
Premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD
Akhil Lamba
Premier directeur général et chef, Transactions bancaires mondiales, Valeurs Mobilières TD
Akhil est le premier directeur général et le chef, Transactions bancaires mondiales. Il dirige les équipes Gestion de trésorerie d’entreprises, Institutions financières, Financement du commerce mondial, Financement des exportations et pour le compte de tiers. Akhil donne aux clients accès à des occasions, à des réseaux étendus et à des solutions novatrices. Il satisfait aux besoins de la clientèle en matière de transaction bancaires mondiales grâce à l’approche axée sur les relations éprouvée de Valeurs Mobilières TD et en s’appuyant sur la force et la fiabilité d’une des banques les plus sûres du monde.
Dan Bosman
Premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB)
Dan Bosman
Premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB)
Dan Bosman
Premier vice-président et chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB)
Dan Bosman est le premier directeur général et le chef de l’information, Valeurs Mobilières TD et Gestion de la trésorerie et du bilan (GTB). Il est responsable de tous les flux de techologie mondiale et de la mise en œuvre de solutions de technologie novatrices et proactives visant à favoriser l’atteinte des objectifs d’affaires de Valeurs Mobilières TD et les stratégies de croissance. Il a joué un rôle essentiel dans le changement de nos pratiques de livraison de projets visant à mettre davantage l’accent sur la responsabilité de produit et les pratiques agiles. Grâce à l’attention particulière portée aux infrastructures partagées, à la livraison de produits, à l’expérience des développeurs et aux partenariats avec des collègues à l’échelle de Valeurs Mobilières TD, son équipe a mis en place une plateforme technologique primée. En 2017, Dan a également été reconnu en se voyant figurer sur la liste des 100 leaders des technologies établie par Computerworld d’IDG.
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy Van Arnhem
Directrice générale et chef, Gestion des relations-clients (haute direction), Canada, Valeurs Mobilières TD
Amy est responsable d’offrir une couverture multiproduits mondiale complète aux hauts dirigeants pour des clients institutionnels canadiens. Dans le cadre de ses fonctions, elle gère les relations avec les intervenants en faisant la promotion d’une approche collaborative et intégrée à l’échelle de l’entreprise. Elle s’est jointe à la TD en 2001, dans le secteur de détail. En 2007, en participant au programme de rotation de Ventes et négociation à Valeurs Mobilières TD, elle a acquis de l’expérience en titrisation, en négociation pour compte propre et en actions institutionnelles. En 2008, elle s’est jointe à l’équipe Ventes d’actions institutionnelles, où elle traitait avec des clients canadiens.